Grenade et l’art du flamenco

Je reviens d’Espagne, où j’ai passé un court séjour à Grenade. L’Espagne est un pays que j’ affectionne particulièrement, peut-être est-ce parce que j’ai vécu pendant mon enfance et adolescence à Tanger. Tous les étés, nous traversions l’Espagne par la route pour rejoindre la France, pour vous dire combien de fois je l’ai sillonnée.

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D’autre part ma meilleure amie quand j’avais 12 ans, Alicia, était espagnole, la dame qui faisait le ménage à la maison, Louisa, était elle aussi, espagnole. J’ai donc appris à parler cette langue et à en connaître les coutumes, les traditions, la gastronomie….

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Je pense, que si je ne vivais pas ici dans le Sud, je me serais expatriée en Andalousie, une région absolument fabuleuse, qui abrite des villes telles que Séville, Cordoue, Malaga, Alméria, Cadiz, Grenade, des villes magiques où la culture arabe a laissé de nombreux témoignages tels que la mosquée de Cordoue, et l’Alhambra dont je vous parlerais plus en détail lors d’un prochain billet.

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Ce petit séjour à Grenade va faire l’objet de plusieurs posts sur mon blog pour vous raconter la ville certes, mais aussi l’histoire de Grenade, car cette ville magique est empreinte de plusieurs cultures, arabe, andalouse, gitane, juive, chrétienne et cette mixité lui donne un cachet et une magie inégalables.

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Aujourd’hui je vais vous raconter l’art flamenco, car j’ai pris enfin, lors de ce séjour, un peu plus long, l’occasion d’aller voir un vrai spectacle de flamenco, dans le lieu le plus réputé de Grenade La Casa de l’Arte Flamenco. J’en ai encore des frissons, comment vous dire la force, la beauté, l’élégance, la « rabbia », la colère, la nostalgie que renvoient la danse (el baile), le chant (el canto), la guitare (el toco).

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Le flamenco est issu de la culture gitane. Mais qui sont les gitans et qu’exprime cette danse si particulière et si émouvante.nJe vous renvoie ici sur un lien pour ceux que cela intéresse vraiment et qui comme moi apprécie la musique de Paco de Lucia.

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Le Flamenco est un style espagnol de musique et de danse qui trouve son origine en Andalousie au XVIIIème siècle, et qui a comme base la musique et la danse andalouse.
nIl existe de nombreuses controverses sur l’origine du Flamenco.
nLa thèse la plus répandue explique l’origine du Flamenco par le métissage culturel que connu l’Andalousie, entre musulmans, chrétiens, juifs, gitans etc.. Il est bien entendu que gitans, juifs, musulmans et chrétiens se trouvent en de nombreuses parties du globe, mais le Flamenco ne se trouve qu’en Andalousie.
nPar conséquent, le Flamenco est un patrimoine authentique et véritable de tous les andalous, sans distinction ethnique ou religieuse.
nLe chant, le « toque » (la touche) et la danse sont les principales facettes du Flamenco.

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Le Flamenco, bien qu’enraciné dans le folklore andalou, est un genre tellement stylisé et complexe que l’andalou moyen, même avec de bonnes prédispositions pour la musique, est incapable de l’interpréter correctement. De fait, de tout temps le Flamenco fut interprété par une minorité, peu ou largement diffusé.
nL’apparition des chanteurs professionnels et la transformation des chants populaires par les gitans ont conduit à une transformation considérable des airs traditionnels.

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Ainsi le Flamenco est un des principaux attraits touristiques de l’Andalousie.

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Une petite page de l’histoire du Flamenco

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Le Flamenco est issu d’une tradition vivante qui remonte à la plus haute antiquité.
nIl s’organise autour de 3 axes : Le chant (cante); La danse (baile); et la guitare (toques).
nLe Flamenco n’a pas un genre unique, il existe des centaines de genres de morceaux différents.
nChacun d’entre eux possède une atmosphère propre et beaucoup sont des variantes régionales d’Espagne.nLe Flamenco suit des règles très strictes comme la composition de la musique classique.

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Cet art populaire est modelé par la joie et la souffrance. Le Flamenco est constamment influencé et modifié par le contexte social dans lequel il trouve ses racines.
nLes origines du Flamenco sont très floues, même l’origine du mot Flamenco demeure inconnue. Certains pensent que le mot viendrait de l’expression « Felag mengu » (Paysan fugitif en langue arabe) qui s’appliquerait aux gitans après leur banissement à la suite de l’expulsion des Maures hors d’Espagne.

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D’autres théories se basent sur le sens littéral du mot Flamenco (Flamand) et émettent une relation avec les serviteurs venus des Flandres faisant partie de la suite du couronnement de Charles Quint au 16eme siècle. Cet homme pétri de ressentiment, aurait utilisé le terme Flamenco comme une insulte appliquée ensuite aux gitans. En 711, les Maures conquirent « l’Al Andalus » et maintinrent leur domination jusqu’à leur expulsion finale de Grenade par le roi Ferdinand et la reine Isabelle en 1492.
nAinsi, durant ces siècles, les envahisseurs Islamiques ne détruisirent pas : ils assimilèrent. Les nations conquises eurent le droit de conserver leurs religions personnelles.

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L’Espagne en tira un bénéfice musicale immense (mais pas que, il suffit de découvrir l’Alhambra pour en être convaincu!), et l’on peut encore entendre dans le Flamenco l’influence arabe (techniques en harmoniques, utilisant des intervalles plus petits que le demi-ton.)

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Les Gitans et le Flamenco

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Pendant la période de domination Islamique en Espagne (711-1492), les gitans, originaires d’Inde, atteignirent l’Espagne et reçurent l’autorisation d’y rester. Après le départ des Islamiques, la tolérance culturelle pratiquée par les Maures n’a pas survécu à leur départ. Ainsi en 1499, les premières lois contres les gitans apparurent, le nomadisme fut déclaré hors la loi.

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Les gitans abandonnèrent les villes et se réfugièrent dans les collines et les grottes. Cet isolement contribuera à favoriser un développement artistique « à part ».

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Le Flamenco fut finalement crée par la fusion du Cante Gitano avec la musique traditionnelle andalouse.nC’est vers la fin du 18ème siècle que l’attitude officielle à l’égard des Gitans commença à s’assouplir. Mais les gitans restaient encore très discrets sur leur musique, qui se pratiquait en privé, en cercle fermé, sans que les étrangers ne puissent l’entendre.

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C’est seulement dans la deuxième partie du 19ème siècle que le Flamenco devint un art présenté au public. C’est le début de l’apparition des bars-concerts à partir de 1842, à partir de cette date le Flamenco commence à voir apparaître des artistes avec des répertoires plus diversifiés. Ces cafés permirent le rapprochement des traditions Andalouse (Malaguenas, Verdiales, Granadinas, Tarantas) et gitane (Seguiriyas, Soleares, Martinetes, Bulerias, Tangos…) Le chanteur resta le personnage principal, mais avec le temps le guitariste prit de plus en plus d’importance.
nPuis le Flamenco fit son entrée au théâtre et sa popularité ne cessa de grandir jusqu’à se transformer en concerts de guitare classique.

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Le Flamenco devenait un art musical à part entière et faisait son entrée en solo dans les salles de concert.

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Dans les années 1950, on vit réapparaître un intérêt pour le véritable Flamenco. Il en ressort deux tendances :
nLes « traditionalistes » maintiennent des styles biens établis.
nLes « modernistes » composés d’artistes qui adoptent de nouveaux éléments afin de moderniser leur art sans en trahir l’essence ( certains sont inspirés du jazz pensez à Django Reinhardt, Stephane Grappelli qui rend un hommage à Django dans l’album Hommage à Django (1972, reprise 1976 Classic Jazz)

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Certains signes montrent que le Flamenco pourrait devenir un art international, sans toute fois perdre ses racines espagnoles.

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J’espère que vous aussi, vous vous intéresserez au Flamenco, souvent les musiques les plus belles viennent des exilés, je pense à la musique yiddish, que j’aime beaucoup et qu’on entend aussi dans les rues de Grenade.
nJe vous laisse une référence musicale si vous voulez aller à la découverte d’un grand joueur de guitare flamenca, le plus grand, Paco de Lucia: Album Fantasia Flamenca ou encore El Mundo del Flamenco.

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Voilà j’espère vous avoir fait découvrir, une petite facette de mon séjour à Grenade mais d’autres rubriques vont suivre….

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Une petite vidéo pour vous faire écouter un peu de guitare interprété par Paco de Lucia, si cela vous intéresse.

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Et si j’osais

Aujourd’hui je vous propose un petit billet mode qui va, j’en suis certaine vous étonner, venant de ma part.
nJ’ai adopté, ou plus précisément j’ai osé des associations de vêtements très « branchés » et au final, en voyant les photos, je trouve la tenue pas si mal réussie.

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J’ai tenté toute seule comme une grande devant ma glace, en m’inspirant de ce que je vois dans les vitrines, de reproduire un look un peu branché, jupe longue fendue, baskets, blouson en jean et le fameux petit foulard très en vogue en ce moment, on en voit partout!
nEt je peux vous dire, que depuis toujours je suis une adepte des foulards, chèches, écharpes, carrés à nouer, snoods…j’adore avoir quelque chose autour du cou, excepté la corde!!!!
nQuand j’étais très jeune, j’adorais porter le foulard à la manière d’Audrey Hepburn pour camoufler, ou contenir mes cheveux rebelles et frisés.

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Passons au décryptage du look:

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Je porte une longue jupe en jersey (assez fine) donc légère, fendue sur le côté, bleue marine et élastiquée à la taille.
nLes deux zip sur le devant apportent de la lumière et de l’originalité, et donnent à cette longue jupe un côté sport.
nCette jupe je l’ai dénichée chez Babou, je l’ai essayée sans conviction et au final, contente qu’elle est rejoint mes autres jupes dans mon dressing.
nCette jupe, si elle vous plaît, est au prix minime de 10€.

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Je porte la jupe avec un tee-shirt relativement classique offert par ma fille à l’occasion de l’ouverture de la boutique Salsa (spécialiste du jean) à Avenue 83.
nJ’adore ce tee-shirt car il est col V, près du corps sans coller, et ses inscriptions pailletées argent sont raffinées, pas du tout clinquantes.
nMa fille Camille me gâte beaucoup et je dois avouer que je suis une maman très chanceuse d’autant qu’elle a des goûts vestimentaires très sûre et qu’elle sait parfaitement ce qui me sied.

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Mon petit blouson en jean n’est pas tout neuf, comme chacune d’entre nous, le blouson en jean on ne s’en sépare jamais, même quand il est usé, souvent on le customise et on continue à l’arborer fièrement.
nLe mien vient de chez Promod. Ici j’ai rajouté une petite broche rouge pour apporter une touche de couleur, qu’on retrouve dans le foulard.
nCette petite broche vient de l’enseigne Pull&Bear, une boutique que j’ai découverte cette année et que j’adore, tout y est joli et à des prix très abordables, on y trouve une tonne de stickers et de broches pour égayer vos tenues et leur donner un look tendance!
nJe vous conseille d’aller y faire un tour si vous êtes d’ici, le magasin se trouve à l’Avenue 83.

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Le foulard, noué en cravate, encore un cadeau de ma Camille vient de chez Promod, il est carré, tout léger et aux coloris très réussis, discret on l’associe très facilement. Il se noue en un tour de main. J’ai adopté un look un peu patriotique au final, les couleurs bleues, blanches et rouges dominent.

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Les baskets blanches, je les porte très souvent, trouvées chez Babou en début de saison estivale, au prix de 6€! Elles sont tout en tissu, un peu résille, confortables et se lavent en machine.! Le top!!

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((/img/2016/septembre%202016/Jupe%20longue%20Baboun/detail-baskets.JPG))

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La pochette, vous l’avez reconnue, j’en suis tellement fan, que je la sors très souvent, elle peut se porter avec un look décontracté ou au contraire apporter un brin d’élégance et de fantaisie. Elle a été dénichée chez Primark, au moment de l’ouverture d’Avenue 83.

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Alors que pensez-vous de cette tenue, moi qui ne vous présente que des jupes courtes, est-ce que la longue vous plaît?
nCette tenue est-elle la preuve en image que même quand on mesure un petit mètre soixante on peut porter aussi du long et sans talon!

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Et c’est encore une tenue à un tout petit petit prix! Merci Babou!

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Jupe en jean a pont

Aujourd’hui je vous présente un petit look dont les pièces majeures ont été prises dans la boutique « Grain de Malice » du Centre Commercial Grand Var.

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Un centre commercial auquel je reste fidèle, malgré l’ouverture de l’Avenue 83. Je trouve cette galerie marchande bien agréable, et il faut avouer qu’elle abrite des enseignes qu’on ne trouve pas à l’Avenue 83. Je pense notamment à Nature&Découvertes, Noailles, une grande Parapharmacie, des opticiens en pagaille et des boutiques très stylées et évidemment le Printemps.
nMême si je me tourne aujourd’hui vers des enseignes aux prix riquiqui, j’aime quand même faire du lèche-vitrines à Grand Var!

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Bref revenons à ce qui nous occupe, le total look (ou presque) Grain de Malice.

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Ce magasin regorge de trésors en matière de style, d’imprimés. Toutes les générations s’y retrouvent, en tout cas moi je m’y retrouve et surtout je trouve ma taille dans une boutique de prêt à porter de femmes et non d’adolescentes.
nJe sais vous allez me rétorquer que j’ai quand même un look d’adolescente mais je ne le fais pas exprès et avec quoi d’autres me verriez-vous, vous?
nQuelle jupe, quel pantalon, quelle robe dois-je choisir pour ne pas faire adolescente et ne pas faire « mémé » compte tenu de ma personnalité?

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Car comme je le dis souvent, on est « comme on s’habille », je ne me vois pas, je ne me sens pas comme une femme de 60 ans très très bientôt. Cela viendra sûrement, le jour où je me calmerai, où je serais assise devant « Les feux de l’Amour » mais j’en suis encore loin, désolée… Je suis encore passionnée par trop de sujets, j’ai encore trop de choses à découvrir avant de me poser dans un fauteuil!

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Donc, ce look est un look encore et encore de « jeune femme » qui ose la mini jupe en jean.
nCette petite jupe, trouvée au moment des soldes chez Grain de Malice a une particularité par rapport à toutes celles qui sont alignées dans mon dressing c’est qu’elle est « à pont », comme les pantalons et les shorts qui se font beaucoup, elle arbore des petits boutons métalliques devant, bien alignés comme sur les pantalons de marins.

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Elle est taille haute donc elle se tient bien, et elle a un petit look original et tendance, et le jean, que ce soit en jupe, en pantalon, en chemise, en blouson… moi j’en raffole, intemporel, indémodable, inusable!

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La petite blouse aux imprimés bleus et garnie d’un pompon, un peu bohème, vient de la même enseigne.

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Ce genre de petit top s’est fait beaucoup cette année, on en retrouve dans tous les magasins. J’aime beaucoup cette coupe boîte qui a l’avantage de couvrir mes épaules et son côté blousant étoffe ma silhouette et je peux la porter avec une jupe, un pantalon et si je rajoute une veste de blazer la blouse se sophistique d’un seul coup. Elle est infroissable et soyeuse à porter, un vrai bonheur.

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Comme je vous le disais, un petit look plus que simple, casual, pour une sortie mère et fille et un déjeuner dans notre crêperie préférée Au Fou du Roy sur le port de Carqueiranne.

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J’ai chaussé mes sandales préférées de cet été, les camel de Bershka, et à la main une petite pochette basique en paille offerte par Nocibé (et oui Nocibé , où je fais tous mes soins beauté me gâte!).

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Je porte une de mes paires de boucles d’oreille préférées, les turquoise, fait par ma créatrice et amie Marie de Maï B.Atypique, dont je vous parle souvent.

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Alors, je suis certaine que vous vous dites, Annick ne s’est vraiment pas cassée la tête sur ce look, et bien oui il y a des jours avec et d’autres sans…
nIl suffit parfois, d’un petit coup de blues qui vous envahit au réveil et vous n’avez pas envie de faire la coquette, j’en ai fait un minimum pour faire plaisir surtout à ma fille (si tendre) qui se réjouit tant de notre sortie du jeudi.

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Les dessous de Babou

Quand je vous parle de dessous, j’évoque tout ce qui se porte et qu’on ne montre pas, si ce n’est à son chéri. Je voulais mettre en avant un rayon, que peut-être des femmes contournent, alors que chez Babou, on peut trouver des petites choses magnifiques, sexy et dans un tissu soyeux et facile à entretenir.

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Personnellement, je suis une accro de tout ce qui porte le nom de lingerie mais aujourd’hui avec mon budget plus que limité il n’est plus question d’aller dépenser des sommes folles (que je n’ai pas) dans des enseignes comme Orcanta, porter du Chantal Thomas ce n’est plus pour moi.
nJe me tourne en général vers Undiz, une enseigne très avantageuse, jolie, tendance autant pour les femmes que pour les hommes.
nVous avez aussi la possibilité pour la lingerie de vous tourner chez H&M, pas très coûteuse non plus.
nMais depuis que je me balade dans les rayons de Babou je fais de plus en plus de découvertes (dernièrement j’y ai également trouvé des petites socquettes super mignonnes, très agréables à porter, à un tout petit prix 5€ le lot de 5 paires!)

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Vous pouvez les apercevoir dans mon billet sur la pratique du yoga, tenue de yoga que j’ai d’ailleurs aussi prise chez Babou.

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Je vais vous montrer ce que j’ai trouvé pour séduire mon chéri, mais également, je dois l’avouer, pour me faire plaisir à moi aussi, car j’ai horreur d’être « débraillée » chez moi.
nMême si je passe la soirée sur mon canapé, je veux du style et de l’élégance, j’ai toujours été ainsi (va savoir si le médecin doit débarquer en urgence ou mieux les pompiers!!!).
nMais je peux choisir de porter en hiver une version cocooning comme un petit ensemble en pilou, tout doux mais aux jolis motifs ou un pyjama à message rigolo ou un peu décalé (surtout aux moments des fêtes de fin d’année).

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Alors regardez ce que j’ai trouvé, en premier lieu un petit ensemble soutien-gorge (sans armature) et culotte, on dirait une deuxième peau tellement ils sont confortables, dommage qu’il n’y en avait pas d’autres dans différents coloris. Le prix 6€ le haut, 6€ le bas.

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Ensuite j’ai choisi un petit pyjama-short aux imprimés un peu vintage personnellement j’aime beaucoup, il est aussi très agréable au contact de la peau, au prix modique de 12€.

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Deux petites nuisettes adorables, à porter sous un peignoir kimono, elles font un superbe effet. J’en ai choisi deux aux coloris opposés l’une est plutôt dans le pastel. (10€ chacune)

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Mon deuxième choix est une nuisette aux motifs noirs et rouges, ornée au décolleté, comme la première, d’un liseré très fin en dentelle noire.

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Alors qu’en pensez-vous de mes trouvailles?
nSeriez-vous prêtes à porter des dessous Babou, en tout cas, mon chéri, quand il m’a vue sortir de la salle de bain m’a dit avec un clin d’oeil « Sexy girl! »

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Allez chez Babou et surtout risquez vous dans tous les rayons… Le bonheur est chez Babou! et à tout petit prix!

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