A la manière de Courrèges

Lors de ma dernière journée de shopping chez Grain de Malice, je suis tombée « amoureuse » de cette petite jupe rouge , ici, pendant au moins une demi-heure j’ai pensé « à mon âge est-ce vraiment sérieux, une mini jupe rouge!!! », moi qui n’ai jamais osé le faire lorsque j’avais 25 ans.

Comme quoi, aujourd’hui je me sens suffisamment forte psychologiquement pour me dire que l‘important c’est le regard que je porte sur ma silhouette et non le regard des autres ou le diktat des magazines féminins, j’ai envie de vivre la mode comme je la ressens…

 

La malice de cette enseigne installée à Grand Var n’arrête pas de me faire craquer par la diversité de son style, de ses matières, et le magasin est si joliment agencé, éclairé, les conseillères de mode toujours au petit soin, c’est un vrai moment de plaisir d’aller faire du shopping.

 

 

Vous imaginez bien que me connaissant, il me fallait le petit haut qui va avec la jupe…mais évidemment le rouge n’est pas une couleur facile à manier, il faut y aller en douceur.
nJe voulais quand même sortir des « basiques », alors, j’ai jeté mon dévolu sur un petit pull à rayures et dentelles ici (le dernier dans ma taille) mode, tendance, moderne, qui « en jette » je l’ai adopté illico et j’ai foncé en cabine sous l’oeil expert de la vendeuse.

 

 

Quand je fais des achats, je ne suis jamais compulsive et je réfléchis d’abord à ce que j’ai dans mon armoire, à la pertinence à craquer pour un article (le mettrais-je à nouveau?) et avec quoi.
nJe me pose aussi toujours la question de savoir si à la maison j’ai une veste qui pourrait « finir » la tenue, les chaussures et les accessoires pour jouer le look complet et cohérent.
Alors vous allez me le dire vous les modeuses si le look est complet et tendance et si j’ai bien fait!!

 

J’ai associé ma jupe et mon pull à une petite veste de chez Grain de Malice, Jenychooz l’avait prise couleur moutarde, je l’avais choisie en noire, magnifique finition de cette veste avec ses boutons dorés, un style chic et qui peut faire rock aussi porté avec un slim et des bottes cloutées. La voici ici.
nUne paire de collants résille et oui je porte la résille, qui n’est pas vulgaire si on porte le collant avec des souliers plats, derbies ou boots plates et courtes pour mettre en valeur la cheville.
Mes petites bottes viennent de chez Babou, elles sont confortables et jolies comme tout avec leurs boucles sur le côté.

 

Niveau accessoires, vous connaissez mon petit faible pour les lunettes de soleil, qui peuvent transformer une tenue, et puis avec des lunettes sur le nez, on fait la belle, la coquine, on se planque quand on veut cacher quelques rides au coin des yeux… Les miennes viennent d’une enseigne juste géniale que j’ai découverte grâce à ma fille.

 

 

Ces lunettes sont superbes, elles viennent de Shinywood, le concept de cette marque de lunettes est top, écologique, basé sur le respect de la planète. Cliquez sur le lien pour en savoir plus au sujet de leur philosophie.
En plus elles sont belles comme tout, modernes par leurs formes, et surtout légères et solides puisqu’elles sont en bois et bambou, j’ai choisi le modèle Havana, ici et je ne les quitte plus.
Les verres sont polarisants et la protection est parfaite, l’étui est si beau, je pense presque le détourner pour en faire un rangement pour mes pinceaux à maquillage!

Enfin, une simple paire de boucles d’oreilles très longues achetées chez Promod il y a au moins 10 ans mais que j’aime toujours et une petite pochette rouge de la même marque offerte par ma fille pour mon anniversaire.

 

Alors qu’en dites-vous j’en suis pas loin du style Courrèges, épuré, élégant, aux lignes graphiques, un look comme en portait France Gall à ses débuts (au moment où elle suçait encore des sucettes à l’anis)?

 

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Le commandant

Je suis allée voir la semaine dernière avec une amie le film Cousteau. Cette séance cinéma, je l’attendais avec impatience, imaginant redécouvrir les fonds sous marins et ses trésors, et bien ce n’est pas vraiment cela que j’ai découvert mais plutôt la vie, le parcours personnel et professionnel de cet homme dont la passion pour le monde aquatique était telle qu’il en a perdu tout bon sens, se laissant happé, et emporté par une passion qui s’est avérée, mais c’est juste mon avis, dévastatrice.

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Je me suis rendu compte que j’étais tout à fait ignorante au sujet de ce « personnage » qu’était le commandant Cousteau. Je connaissais, comme chacun, ses recherches, la Calypso si célèbre, le musée Océanographique de Monaco….
nMais ce qui se cachait derrière ce chercheur adulé je l’ignorais et aussi curieux que cela puisse paraître cela l’a fait descendre pour moi de son piédestal.

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L’histoire:

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1948. Jacques-Yves Cousteau, sa femme et ses deux fils, vivent au paradis, dans une jolie maison surplombant la mer Méditerranée.
nCette magnifique demeure, il a pu se l’offrir grâce à la vente de sa première invention le scaphandre autonome qui permet de respirer sous l’eau.
nGrâce à son invention, il ne rêve que d’aventure, il a découvert un nouveau monde. Désormais, ce monde, il veut l’explorer. Et pour ça, il est prêt à tout sacrifier.

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Pour rendre compte de cette aventure humaine hors du commun, Jérôme Salle, le réalisateur, choisit comme axe dramatique les rapports entre Cousteau (joué à la perfection par Lambert Wilson , il en a presque le physique) et son fils Philippe Cousteau, rôle tenu par un Pierre Niney comme toujours authentique, touchant, sauvage, inhibé, il campe à la perfection la personnalité du fils.
nLe rôle de la mère est tenue par Audrey Tautou, Simone est une superbe femme qui se laisse entraînée par la folie de son mari, en oublie sa vie de mère, de femme, et accepte l’inacceptable.
nElle est aussi touchante et authentique qu’une Simone Signoret.

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Certains cinéphiles sont sûrement déçus de ne pas avoir eu leur quota d’images d’océans, de fonds marins, de faune et flore sous-marine, en ce qui me concerne ma déception c’est de voir qu’un homme aussi intélligent, ingénieux chercheur, a mis son énergie à détruire sa famille et en partie notre planète et notamment l’Océan pour satisfaire un égo surdimensionné!

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La seule exception : la séquence de l’Antarctique, où passe enfin un peu de prise de conscience, de culpabilité, de respect face à notre planète et cette scène magnifique où Cousteau essuie ses bottes avant de s’enfoncer sur la banquise, montre ce qu’aurait pu apporter cet homme s’il n’était pas autant focalisé sur son nombril!
nAu milieu du film, Jérôme Salle fait de la haine entre le fils Philippe (Pierre Niney) et le père, un thème majeur. Parmi les griefs adressés au « grand homme » : égocentrisme démesuré et narcissisme forcené.

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Tout devient alors beaucoup plus intéressant, d’autant que ces défauts sont largement illustrés. Et que Wilson et Niney excellents dans ce moment, où ils ont vraiment quelque chose à jouer.
nLe mépris de « JYC » pour l’environnement (on vous parle d’un temps antérieur à Nicolas Hulot) est traité, mais très édulcoré. Il suffit de regarder Le Monde du silence du vrai Cousteau, palme d’or à Cannes en 1956, pour se faire une idée des tortures infligées alors aux animaux par l’équipage de la Calypso.

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Les Cousteau ont eu deux fils mais on comprend vite que les deux garçons ne se ressemblent guère. Philippe, le cadet, est un casse-cou, amateur d’aventures et de dangers. Tout comme son père, il aime à la folie la mer mais encore plus le ciel qui, d’ailleurs, lui sera fatal.
nJean-Michel, l’aîné, est timoré et réservé. Le film ne lui accordera qu’une place secondaire.
nPierre Niney met tout son talent à faire exister Philippe, cet aventurier à la sensibilité exacerbée et au cœur brisé par l’indifférence de ce père qu’il aime par-dessus tout.

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Il apporte une réelle dimension humaine à ce film d’aventure.
nLa scène de confrontation père/fils dans un restaurant à Los Angeles est très convaincante. Il n’y a rien de pire que d’être déçu par un parent qu’on aime plus que tout. Et pour l’aîné, il n’y a rien de pire que d’être ignoré de son père. Pour satisfaire sa gloire personnelle Cousteau fait passer sa famille à l’arrière plan, les enfants sont envoyés au pensionnat durant des années et Simone est amputée du rôle de mère qu’elle doit jouer.

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Une fois la gloire venue, on découvre un autre aspect du Commandant Cousteau, qui d’aventurier des mers se transforme en vedette narcissique, négociant des millions avec les chaînes de télévision américaines, pour finir en business man accompli, succombant sans remords au charme des jeunes femmes et passant son temps à signer des autographes, où est donc passé le marin?

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Finalement, c’est Simone, la femme de Cousteau qui ranimera la flamme de cette épopée avant tout familiale. Pour se venger des incartades de son mari , elle décide que désormais la Calypso est sa seule maison (elle n’a d’ailleurs pas tort puisque c’est en partie grâce à la vente des bijoux que sa mère lui a légués que le couple a pu acheter ce bateau).
nAudrey Tautou est merveilleuse, elle campe le rôle d’une femme déterminée, indépendante et rebelle, forte en gueule et à la fois pudique, toujours digne, mais qui progressivement de jeune femme enjouée devient une épouse vieillissante, aigrie, abandonnée et alcoolique.

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Si comme moi, vous aimez les films autobiographiques, les films qui abordent des sujets si importants comme la famille, comment on la construit et comment on peut la détruire, si comme moi vous êtes touchés par la détresse dans laquelle nous avons plongé notre planète, allez voir ce film.
nIl est saisissant, rempli d’émotions même s’il vous laisse un goût amer, il vous transmet aussi un message, soyons humbles, soyons généreux, soyons soucieux des uns et des autres et de notre environnement.
nLaissez de votre petit passage sur Terre de beaux échanges, de belles empreintes.

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Dentelles

Lors de mon dernier passage chez Babou j’ai encore succombé aux charmes de la lingerie. Babou est une enseigne bon marché, qui malgré tout, propose des choses tout à fait raffinées, et très féminines.

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Lors de mon dernier billet je vous avais montré la lingerie de nuit aujourd’hui je vous laisse découvrir mes dernières trouvailles, je suis ravie de mes achats car j’estime que dessous comme dessus, une femme doit rester une femme soignée, coquette, raffinée et ceci même si elle a la silhouette d’un hareng! (je sais ma fille va me dire que je suis dure avec moi-même).
nMais quand on voit toutes ces femmes polarisées sur leurs seins qu’elles trouvent trop petits, ou trop mous, ou trop ceci ou trop cela…il y a de quoi faire des complexes!
nEt bien moi, mes petits seins à la Birkin, je les aime et mon mari peut continuer à rêver des seins de Beyoncé, je ne les ferais pas regonfler) je referme cette parenthèse toute personnelle pour vous présenter deux petits ensembles en dentelles, un gris et un ivoire.

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J’étais à la recherche depuis un certain temps de lingerie sans armatures et en triangle. J’ai fait quelques enseignes mais les prix ne correspondaient pas à mon budget et là chez Babou je trouve mon bonheur (encore!).
nSans armatures et à triangles! Pourquoi?
nTout simplement parce que lorsqu’on est très mince, les armatures ont le désavantage de vous faire mal, certes elles avantagent le décolleté des dames mais ne sont pas faites pour moi.
nEn triangles, plus ou moins pour la même raison, le triangle est parfait pour les petits seins (bonnet A) et oui je n’ai pas honte de l’avouer! et un bonnet A je peux vous affirmer que ce n’est pas évident à dénicher!
nOn n’est plus plus dans le mouvement « Jane Birkin », les années 70 sont loin…

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Ces deux ensembles sont parfaits, raffinées et sexy grâce à la dentelle et aux coloris délicats et ils ne marquent pas, on ne les sent pas, ne marquent pas sous les vêtements même ajustés. Les soutien-gorges sont à 7€ pièce et le shorty assorti à 4€, soit 11€ l’ensemble, ce n’est pas une folie et je suis certaine que si vous procéder avec délicatesse en les lavant en machine (programmation soie) dans un sac à lingerie, que vous pourrez d’ailleurs trouver aussi chez Babou) vous garderez votre petit ensemble longtemps.

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Alors, si vous avez des problèmes ou non de tour de poitrine, allez faire un tour chez Babou car leur rayon lingerie est au top, dans la tendance, moderne, et il y en a pour toutes les femmes, et pour satisfaire tous les budgets.

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Mes mocassins vernis

Ce look a été pour moi très difficile à vous présenter car ce matin là je n’étais pas dans mon assiette du tout donc comme vous le verrez sur les photos, je n’ai pas le sourire et je suis mal coiffée!

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J’ai donc hésité longtemps avant de vous présenter les photos, mais après tout, puisque je veux que mon blog soit un blog qui reflète la « vraie vie » et bien j’assume! Et je suis certaine que l’enseigne Blancheporte que j’affectionne particulièrement ne m’en voudra pas, car les pièces que je vous présente sont très belles, tendance et de très bonne qualité, et on peut les détourner à l’infini.

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Il fallait quand même, malade ou pas, que je vous présente mes dernières petites acquisitions en matière vestimentaire.
nJ’essaie en ce moment de mixer un peu les vêtements,les couleurs, les imprimés, sortir un peu des sentiers battus, moi qui suis toujours assez classique dans mes tenues. N’hésitez pas à me dire si l’association vous plaît.

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J’ai craqué dernièrement pour un petit blouson gris en coton et surtout ce qui devient de plus en plus tendance en ce moment les mocassins vernis à pompons ou à franges.

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Je ne portais pratiquement que ce style de chaussures lorsque j’étais encore une jeune adolescente. Mon père m’imposait ce genre de souliers que je trouvais, à l’époque, particulièrement hideux, strictes et trop masculins….et aujourd’hui je les adore!
nSurtout quand on les porte avec un look masculin/féminin, pantalon droit découvrant la cheville je trouve cela chic et cela vous étonnera je trouve les chevilles d’une femme sexy surtout lorsqu’elles sont fines.

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Décryptage du look:

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C’est un look de tous les jours, pour faire ses courses, rien de très recherché en somme.
nJ’ai choisi de porter un slim bordeaux trouvé chez Jennyfer, l’enseigne des « petits bouts de femmes », avec une chemise à rayures blanche et noire mais sans bouton. Cette chemise est superbe, loose juste ce qu’il faut, elle ne se froisse pas et n’a besoin d’aucun coup de fer! Le bonheur! Elle vient de chez Jennyfer également.

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Comme j’aime les superpositions et qu’une veste finit toujours une tenue, j’ai choisi d’apporter une touche de gris avec un petit blouson en coton adorable, col rond (on peut ainsi lui donner une toute autre allure en le portant avec un chèche, ou une chemise en jean brut.
nCe petit blouson est léger, en automne il est parfait et il le sera aussi pour l’été car il peut venir réchauffer une petite robe.
nCe petit blouson (il existe en plusieurs coloris) vient également de chez Blanche Porte, une enseigne vraiment que je découvre de plus en plus et contrairement à l’image qu’on peut s’en faire, Blancheporte propose de plus en plus de pièces très modernes et branchées. Et chez Blancheporte il y a de tout, le rayon maison est très alléchant également.
nJe vous laisse découvrir en image les petits mocassins qui m’ont faite craquer et qui en plus ne blessent pas les pieds, hyper confortables.

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N’hésitez surtout pas à les porter avec des petites socquettes féminines en dentelle ou aux motifs plumetis. Ils font également très jolis avec une jupe, une tenue « preppy », qu’il faudra que je teste très rapidement.

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Pour finir le look, j’ai choisi une pochette en tissu dans les mêmes tons que le pantalon, elle vient de chez Promod. Elle est à un prix abordable compte tenu de son originalité et de ses finitions. J’adore les motifs géométriques et le pompon qui l’agrémente.

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Côté bijoux, j’aurais souhaité porter des boucles d’oreilles grenat mais je n’en ai point, j’ai donc opté pour des perles de Murano dans les tons gris. Cette paire de boucles d’oreilles vient de la boutique La Perle d’Oro.

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Voilà, j’espère malgré tout, que le look ne vous décevra pas trop, il est évident qu’un petit sourire aurait été un plus.

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Je suis trop contente de mes trouvailles que je vais pouvoir mixer avec tout un tas d’autres pièces. Désolée de ne pas vous sourire mes chers lecteurs mais quand on a mal dormi et qu’une migraine vous vrille la tête et que la photographe ne comprend pas toujours que le shooting c’est pas si facile. Prendre la pause et faire semblant, c’est difficile pour moi surtout quand j’ai la migraine!
nJe vous invite vivement à compulser le catalogue de Blancheporte en ligne et vous verrez les jolies tenues que vous pouvez composer avec un budget raisonnable, et la livraison à domicile est très rapide.

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