Au moment de la période de Noël, les cinémas affichent tous des films dédiés particulièrement à la jeunesse, aux tout-petits, aux moyens et aux grands comme moi.
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J’ai même constaté que souvent au cinéma des adultes, des parents prenaient plus de plaisir à regarder un dessin animé que leurs enfants alors que la séance leur était consacrée.
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D’ailleurs cela a été le cas, quand je suis allée voir « Vaiana, la légende du bout du monde », je trépignais d’impatience comme une enfant, la bande annonce, le dessin de l’affiche m’avaient mis l’eau à la bouche.
nD’une manière générale je ne manque jamais la sortie d’un dessin animé.
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Mais, ce n’est pas de ce film là dont je voulais vous dire quelques mots, mais de l’autre, celui qui ne quitte plus l’affiche « Les Animaux Fantastiques », ce film réalisé par David Yates qui dure 2h15 est passé comme une étoile filante, fascinante histoire, parcours parsemé de créatures étranges et attachantes, un monde fantastique ou magie et réalité se côtoient et nous laissent chancelants, émerveillés.
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Un film tiré d’un livre écrit par l’auteur d’Harry Potter J.K Rowling En 2001, l’association britannique de lutte contre la pauvreté Comic Relief a demandé à trois auteurs populaires, dont Joanne Rowling, de publier de petits livres reprenant les thèmes de leurs plus gros succès. Les deux publications de Jo, Les Animaux fantastiques et Le Quidditch à travers les âges, sont présentés comme des facsimilés de livres présents dans la bibliothèque de Poudlard.
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Le film, à peine terminé j’avais envie de le revoir une fois encore tellement le charme avait opéré.
nOn se sent embarqué comme sur un navire enchanté, on ne sait pas où on va, on fait d’étranges et de drôles rencontres.
nOn croise aussi des « méchants » tous les piliers du cinéma fantastique sont présents, la magie des images et des effets spéciaux.
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L’histoire, invraisemblable, puisque nous sommes dans le monde de la fiction et du cinéma, nous interpelle, en tout cas, c’est la réflexion que je me suis faite, on pourrait être dans la réalité.
nOn se dit tout bas et peut-être que ces animaux pourraient exister, on nous parle bien des dinosaures.
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Les héros, Monsieur Dragonneau et Monsieur Kowalski, forment un binôme absolument fascinant de spontanéité, d’authenticité, le rôle leur va à merveille autant à l’un qu’à l’autre.
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On retrouve la délicatesse, la pudeur, de l’acteur Eddie Redmayne (qui m’avait déjà impressionné dans The Danish Girl, sur lequel j’avais fait un billet) qui revêt l’habit de Monsieur Dragonneau, est extraordinaire. Il dégage une sorte de candeur, de douceur, de compassion, on ne peut pas rester insensible, son compagnon de route, l’acteur Dan Fogler dans le rôle d’ un monsieur tout à fait inoffensif, Jacob Kowalski,qui devient de plus en plus attachant lui aussi au cours de l’avancée du film qui finit par croire à la magie et ne veut pas perdre ses nouveaux amis.
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Vous me connaissez suffisamment bien aujourd’hui chers lecteurs qui me suivez, pour savoir que je n’ai pu m’empêcher de voir dans ce film des messages, des messages qui ne font pas partie du monde de la magie mais bien d’un vrai monde.
nDe notre monde où douceur, tolérance, partage ne peuvent côtoyer l’autre monde, le notre aussi où le pouvoir gouverne, où la force, la violence, l’intolérance sont présentes et immuables.
nLe monde de la magie peut-il côtoyer le monde du réel qui n’est fait que de violence où il n’y a pas de place pour le rêve, pour le fantastique, le pourquoi pas?
nMoi je rêve d’un monde où les fées, les mages pourraient nous sauver et nous montrer la bonne voie à suivre…
nIl faut quand même que je vous parle de l’histoire pour vous donner envie d’aller voir ce film avec vos enfants avant la rentrée des classes, car il est à voir vraiment!
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L’histoire:
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New York, 1926. Le monde des sorciers est en grand danger. Une force mystérieuse sème le chaos dans les rues de la ville : la communauté des sorciers risque désormais d’être à la merci des Fidèles de Salem, groupuscule fanatique des Non-Maj’ (version américaine du « Moldu ») déterminé à les anéantir. Quant au redoutable sorcier Gellert Grindelwald, après avoir fait des ravages en Europe, il a disparu… et demeure introuvable.
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Ignorant tout de ce conflit qui couve, Norbert Dragonneau débarque à New York au terme d’un périple à travers le monde : il a répertorié un bestiaire extraordinaire de créatures fantastiques dont certaines sont dissimulées dans les recoins magiques de sa sacoche en cuir – en apparence – banale. Mais quand Jacob Kowalski, Non-Maj’ qui ne se doute de rien, libère accidentellement quelques créatures dans les rues de la ville, la catastrophe est imminente…..
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Je ne vous en dévoilerais pas plus, ce serait dommage mais je vous invite à aller à la rencontre de ce Monsieur Dragonneau, qui vous prouvera que dans le monde de la magie, la protection des animaux existe aussi et que comme dans notre société actuelle il y a ceux qui aiment les animaux, qu’ils soient petits, monstrueux, grands, répugnants et il y a ceux qui veulent l’extermination de ceux qui ne sont pas conformes au standard!
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Allez n’hésitez pas aller voir ce film et vous serez embarquée dans une histoire dont vous ne voudrez pas sortir.
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