Très récemment j’ai poussé la porte du cinéma sans être particulièrement convaincue que j’avais choisi le bon film, mais faute de mieux ce jour là je me suis laissée guidée pour « Une belle course »...
Ce fût une vraie surprise et effectivement une échappée belle et émouvante, en tout cas pour moi.
Après mon emballement pour la prestation de Virginie Efira dans « Revoir Paris », je me suis précipitée confiante au cinéma pour découvrir « Les enfants des autres » dont on parle tant…
Je n’irais pas par quatre chemins, pour moi cela a été un encéphalogramme plat!
Je vous livre aujourd’hui, un peu à vif mon ressenti, sur le film que je suis allée voir hier, seule, ce film à mon sens doit se vivre seul..
Ce film a été pour moi comme un coup de poing. Un projecteur braqué sur la souffrance, sur le vécu des personnes qui ont traversé un attentat et en sont sorties traumatisées à vie… mais vivantes…
Comme les humains qui ressortent des camps de concentration, quand on échappe d’une catastrophe qui a touché tant de personnes comment ne pas culpabiliser et reprendre le cours d’une vie « normale »…
« Revoir Paris »réalisé par Alice Winocour, est une histoire librement inspirée des attentats qui ont frappé Paris en 2015 (le propre frère de la réalisatrice était au Bataclan le 13 novembre).
« Revoir Paris » est le film cathartique que la capitale attendait.
Les Prisonniers de la Liberté n’est pas le premier roman de Luca di Fulvio mais c’est le premier que j’ai tout simplement dévoré. Il m’en reste bien d’autres à lire.
Luca Di Fulvio, né le 13 Mai 1957 à Rome, est un homme de théâtre et un écrivain italien, auteur de roman policier, de fantastique et de littérature d’enfance et de jeunesse.
Je suis actuellement aux premières pages du Gang des Rêves qui a été son premier véritable best-seller. Le roman paru en Italie en 2008, se déroule dans le New York des années 1920. Il fut un grand succès en Italie, mais aussi en Allemagne où le livre s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Il ne sera publié en France qu’en par une toute jeune maison d’édition, créée en mars 2016, Slatkine & Cie.