Bohème en toute saison

Voilà longtemps que je ne vous avais pas écrit un petit article mode, je viens de recevoir une jolie robe de l’enseigne Blancheporte, toute simple au demeurant et j’avoue un peu grande pour moi mais dont j’adore l’imprimé et la couleur, si elle vous plaît, elle coûte 12€, vous la trouverez ici.

D’autre part, quand approche le mois de Février, ici dans le Sud, on commence à sentir l’arrivée des beaux jours, la végétation se réveille tout doucement, on se dit qu’il est temps de tailler les rosiers et de s’affairer un peu au jardin pour lui refaire une beauté.

Il en est de même pour nous, le printemps commence à nous « titiller », on a envie de robes légères et de couleur et la petite robe bohème est un véritable atout pour passer d’une saison à l’autre. Il suffit de savoir la marier à une matière plus chaude et de l’accessoiriser, de la porter avec des bottes pour la réchauffer un peu et accentuer le côté bohème. Au printemps on la portera sans rien dessus, juste ceinturée avec une paire de sandales…

Je  vous le dis cette petite robe bohème aux manches pagode a tout juste, elle est jolie comme tout! Enfiler une petite robe c’est toujours plaisant pour une femme et cela rime souvent avec l’arrivée des beaux jours, où l’on n’a envie de se délester un peu des pantalons et des pulls qui nous engoncent un peu.

Je porte ma petite robe avec un gilet en fausse fourrure de la même enseigne dont j’ai fait l’acquisition l’année dernière, un achat comme je les aime, qui passe partout et dont on trouve toujours l’utilité dans un dressing.

La ceinture trouvée en soldes chez Grain de Malice, l’an dernier, il en est de même pour les cuissardes dénichées chez Babou et si vous saviez,  je prie pour ne pas les user trop vite tellement je les aime!

La petite besace jaune, shoppée il y a deux ans chez Kiabi au moment des soldes et que j’adore toujours et qui n’a pas bougé d’un poil!

Et pour finaliser la tenue quelques petits bijoux qui viennent de l’enseigne Karma Yoga shop, je craque souvent pour leurs bracelets et celui là m’a particulièrement séduite. Je porte les boucles d’oreilles que ma fille Jenychooz m’a offertes à Noël, je ne les quitte plus tellement elles sont rayonnantes, elles viennent de la créatrice Season’s in Wonderland dont je souligne le talent et dont je vous parlerais plus en détail très prochainement dans un billet.

Et voilà, une petite tenue toute simple et qui sent les beaux jours, qu’en pensez-vous?

Etes-vous comme moi fan de robes bohèmes ou de jupe? Quel plaisir de laisser un peu tomber le pantalon! Au final, il est bien plaisant d’être une femme et de pouvoir s’habiller de manière différente tous les jours, les hommes n’ont pas cette chance!

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !

Chasseur d’images

J’ai fait, très récemment, grâce à Sophie Pelikan, créatrice de Créa-cord, mon billet ici, une magnifique rencontre. Une rencontre avec un artiste mais pas que, une rencontre avec un peu mon double.

Comme moi Pascal Langianni est un passionné d’images, de captures d’émotions, de captures de moments éphémères. L’émotion peut être transmise soit par des mots, soit par des images, soit même par des sons, l’émotion est d’ailleurs ce qui fait le socle d’un bon film.

Mon émotion, je la traduis la plupart du temps par des mots écrits car je n’ai malheureusement pas le talent de Pascal Langianni, un photographe absolument exceptionnel et au passage, je remercie Sophie d’avoir pu me faire rencontrer une personne de qualité, une personne rare, je n’ai pas peur des mots. Vous connaissez mon honnêteté sur ce blog, je ne parle qu’avec mon coeur et souvent mes tripes et si aujourd’hui je viens vers vous pour vous raconter cette rencontre c’est que je sais qu‘un artiste n’a pas le droit de vivre dans l’ombre et je souhaiterais mettre le projecteur sur ce chasseur d’images que je viens de croiser.

Un poète, lui, est amoureux des ciels d’orages, des lumières sur la ville, des paysages, des moments d’amour, des instants qu’on voudrait éternels, moi  je suis une amoureuse des mots car malheureusement je ne maîtrise pas la photographie.

Pascal Langiani fait plus que « prendre une photo », il sait quand il faut déclencher et pourquoi c’est maintenant qu’il faut appuyer sur le déclencheur, et cela n’a absolument rien à voir avec une technique ou un simple savoir faire.

Pascal sait « regarder » il sait « voir » il sait capturer l’émotion pure de certains moments que nous offre la vie. Capturer l’émotion, faire vibrer la personne qui va regarder le cliché est la chose la plus difficile et en même temps la plus magique que doit savoir faire un photographe.

Pensez aux clichés de Henri Cartier-Bresson ou le photographe, que n’importe quel profane connaît, Monsieur Robert Doisneau, regardez les nus de Jeanloup Sieff et vous y verrez tout autre chose que des corps nus de femmes, vous y verrez de l’amour. Tous ces grands photographes nous émerveillent car ils appuient sur le déclencheur au moment opportun, au moment choisi, au moment parfait.

Comme les grands reporters de guerre, comme Robert Capa, qui arrivent à vous faire pleurer juste avec une image qui, pourtant, est fixe! Vous arrivez à percevoir au-delà de l’image, vous entendez les bruits de balles, les corps qui tombent dans la poussière, les cris, vous êtes dans la guerre vous aussi…

Pascal Langianni vous montre un ciel d’orage, et vous voilà tout dégoulinant de  pluie, vous sentez l’eau tomber sur vos épaules, vous sentez l’herbe mouillée sous vos pieds, vous entendez les roulements de tonnerre, vous êtes dans l’orage…

Pascal sait également, comme peu savent le faire d’une manière naturelle et authentique, capturer les moments d’amour, alors faites lui confiance et chargez le de capturer vos moments de pure bonheur. Confiez lui votre visage et il saura parler de vous comme personne, il saura dévoiler quelle femme ou quel homme vous êtes, et ce qui vous fait vibrer.

Pascal, saura-t-il, avec ses clichés vous parler de moi et vous faire sentir la personne que je suis à l’intérieur, celle cachée, celle pudique, bientôt vous le saurez et cela fera l’objet d’un autre billet sur ce brillant photographe.

Vous pouvez également me suivre sur Instragram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !

La guerre des sous

Pourquoi la majorité des querelles, grandes ou petites ont toutes pour origine l’appât du gain?

 

 

L’argent semble être devenu un véritable poison! Ceux qui en ont, en veulent davantage, ceux qui n’en n’ont pas le convoitent…. Pourquoi amasser de l’argent, amasser des biens, être propriétaire, avoir une voiture plus belle que celle du voisin, pourquoi vouloir toujours plus, pourquoi l’homme est-il éternellement insatisfait?

Pourquoi « avoir de l’avoir dans ses armoires » comme le chante si bien Alain Souchon devient-il la préoccupation principale de pratiquement chacun d’entre nous? La seule manière de se sentir « intégré » ou de se sentir « heureux »? Pourquoi oublions nous tous que nous ne sommes que « locataires » ici bas? Je ne dis pas que l’argent n’est pas important mais une fois que l’on a acquis un certain niveau de bien-être pourquoi la quête ne s’arrête-t-elle pas enfin?

Pourquoi ne pas poser ses valises, et respirer admirer le paysage, la nature, et se satisfaire simplement d’être en vie et en pleine santé.

L’amour et la santé voilà les seules richesses à mes yeux, que fait-on seul, même riche?

En ce qui me concerne, je suis persuadée et je n’ai jamais cherché l’appât du gain, gagner plus pourquoi faire? Très souvent, on ne dispose jamais de temps pour le dépenser!

J’ai toujours été « insensible » à l’appât du gain, amasser mais pourquoi donc? Je ne dis pas que je suis dédaigneuse face à l’argent, cela est bien agréable d’en avoir mais si j’ai épargné c’est avant tout pour sécuriser un tant soit peu le périmètre, surtout lorsqu’on est responsable d’un enfant.

Je suis heureuse aujourd’hui de ce que j’ai acquis et je ne convoite rien de plus si ce n’est la paix, la sérénité, l’amour. Il m’arrive comme tout un chacun d’avoir parfois « la fièvre acheteuse » mais c’est souvent lorsque je me sens vide à l’intérieur, mal aimée, délaissée et que mon parcours de vie perd de son sens…. Alors c’est dans ce cas que la méditation est bien utile, le questionnement, la prise de conscience est nécessaire. « L’oeil était dans la tombe est regardé Caïn » Car, si ce n’est la quête d’amour quel est mon véritable désir? Sûrement pas au fond d’avoir une nouvelle paire de chaussures!

Qu’est ce qui me pousse à continuer le chemin, l’achat de « l’iphone 8 » ou plutôt retrouver un compagnon de route, une main dans la mienne, un doux baiser sur mes lèvres, la visite d’une amie, le rire d’un enfant, le sourire d’un passant, les baisers baveux de mes chiens…qu’y a t-il de plus précieux que cela?

Je crois que je suis une foule sentimentale à moi toute seule, je vis dans le monde des « bisounours », je ne parviens jamais à montrer les dents et surtout pas pour des questions d’argent, il est si doux de donner sans que rien ne nous soit exigé, faire plaisir à l’autre n’est-il pas plus jouissif que de se gâter soi-même.

J’ai eu l’immense chagrin de perdre mon père en septembre dernier et en janvier, je reste inconsolable, malgré le fait que ce père a été absent pour moi, si dur parfois, si peu compréhensif, ma belle-mère de même, quant à mes deux soeurs elles dansent autour d’un héritage en espérant en tirer le meilleur parti.

Moi à ce jour, je prends conscience que le seul lien qui me liait à ce semblant de famille était mon père et aujourd’hui son silence, son départ ont définitivement mis un terme aux relations avec mes soeurs et ma belle-mère. Quoique belliqueuses, mes soeurs restent mes soeurs et je ne parviens toujours pas à comprendre en quoi la possession de tout un héritage va apaiser le chagrin d’avoir perdu un père et tout cela en écrasant par leur méchanceté leur soeur que je suis malgré tout, qu’elles le veuillent ou non, leur père est aussi le mien.

Je suppose qu’à chaque famille, ses problèmes, à chaque décès, un problème d’héritage et un partage difficile. Comment une famille qui se crée grâce à l’amour d’un homme et d’une femme peut-il se transformer en  une haine glaciale et sans limite.

Ce deuil, ce pseudo héritage, m’ont permis de réfléchir encore davantage à mon rapport  à l’argent et à la consommation c’est ce qui justifie ce billet aujourd’hui. Mon père était très économe et il laisse derrière lui des biens,  mais je me rends compte aujourd’hui que le chagrin de ne pas avoir eu de père ne sera remplacé par aucun pécule. Depuis toujours ma vie n’a rien eu de facile et que je me suis habituée depuis mes 20 ans  à me restreindre même au moment où ma situation professionnelle a été la plus avantageuse, j’ai continué à avoir le même train de vie et à faire attention à l’argent (entre autres pour mettre à l’abri ma fille).

Ainsi, aujourd’hui j’ai réussi à construire ma vie comme une fourmi, mais fière de l’être, j’ai choyé ma fille, choyé mes amies avec mes moyens, mais surtout pas avec de l’argent ou des cadeaux hors de prix mais avec toute ma disponibilité et mon amour et c’est tout cet amour qui me rend plus riche que beaucoup de personnes autour de moi, à commencer par mon ancienne famille, mes soeurs et ma belle-mère et je leur souhaite un jour de connaitre, elles aussi, le plaisir de donner sans rien attendre en retour.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Je me cocoone dans ma doudoune

Qui a dit que la doudoune était le costume du petit bonhomme Michelin? Je vais vous prouver que c’est une hérésie et que ce vêtement, très en vogue cet hiver, est non seulement un incontournable parce qu’il est chaud et imperméable mais qu’en plus il peut même être élégant!

C’est certain que, si vous la portez avec en dessous un pull de ski il ne faut pas vous étonner de vous sentir à l’étroit, entravée et ridicule, mais je vous assure qu’avec une petite tenue légère, vous serez  douillettement protéger à l’extérieur pour lutter contre le froid et le vent, et dès que vous l’enlèverez vous vivrez votre vie au travail ou a la maison vêtue conformément aux températures imposées dans les bureaux!

Je vous montre?

Mon look se compose d’une doudoune portée sur une petite robe légère de chez Blancheporte. Cette doudoune vous l’aurez deviné, je l’ai trouvée chez mon chouchou c’est-à-dire chez Babou, belle et peu coûteuse quand on compare avec les prix pratiqués dans d’autres enseignes!

Cette doudoune a tout juste, elle est cintrée, sobre, noire, chaude et légère à la fois. Elle est vraiment bien coupée, elle possède une capuche amovible bien pratique les jours de mistral. J’avoue que j’étais très sceptique au départ ma blogueuse de fille, Jenychooz, étant une anti-doudoune, mais j’en ai fait à ma tête pour une fois et j’avoue ne pas être déçue, une chose est certaine c’est qu’elle me tient chaud et je ne trouve pas que je ressemble au petit bonhomme Michelin!

Et vous comment me trouvez-vous? Avez-vous également adopté la doudoune très à la mode et très chaude?

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !