L’oignon à l’indienne

J’adore les voyages mais mes finances ne me permettent pas de réaliser tous mes rêves en matière de voyage alors je voyage et m’aventure à travers la cuisine du monde.

Après être partie « du côté de la cuisine au wok » donc plutôt en Asie, je me suis aventurée jusqu’en Inde avant de la découvrir pour de vrai, car oui je pars le 4 septembre prochain pour une immersion totale en Inde qui plus est dans un ashram pour être en accord avec mon moi intérieur et pour m’immerger également dans la vie de ce pays si particulier, paraît-il que soit on en tombe amoureux, soit on déteste et on écourte parfois son séjour… Personnellement je sais que cela va être rude et qu’il y a des renoncements à faire en matière de confort, ici chez nous il suffit d’ouvrir le robinet pour avoir de l’eau et cela paraît naturel mais ce n’est pas partout pareil et que l’Occident et l’Orient sont à l’opposé sur beaucoup de plans.

Je vais donc aujourd’hui dans ce petit article vous parler d’une petite recette très facile à réaliser, très peu coûteuse et que j’ai personnellement beaucoup appréciée car j’adore les épices, je ne sais pas cuisiner sans épices, de part mes origines sûrement…et part le rendu croustillant, une petite assiette pour un apéritif dinatoire ou à poser sur une salade…

Pour la petite histoire,  sachez que dans la cuisine indienne vous retrouverez un ingrédient très souvent utilisé il s’agit de la farine de pois chiche qu’on appelle « Besan » en hindi c’est l’un des produits le plus utilisé dans le Nord de l’Inde. Les pois chiches sont riches en glucides et en protéines et pauvres en graisse. La farine est utilisée dans la cuisine mais également comme produit de beauté. C’est un exfoliant naturel que les femmes utilisent pour faire des masques, ils rendent la peau très douce et très belle, et cette farine est très souvent utilisée avant le mariage pour rendre la peau de la mariée douce et satinée….

Alors c’est parti on embarque pour la recette des oignons à l’indienne, un plat vraiment économique!

Ingrédients (pour 6 beignets)

  • 1 gros oignon coupé en tranches
  • 2 gousses d’ail coupées en morceaux
  • 5 cuillères à soupe de farine de pois chiches
  • 2 cuillères à café de curcuma
  • 2 cuillères à café de curry

quelques feuilles de coriandre fraîche, du sel et un peu d’eau

Il suffit de regrouper les oignons dans un récipient, ajouter le sel et mélanger à la main pour séparer les tranches. Ajouter le curcuma, l’ail, le curry et mélanger de nouveau. Ajouter la coriandre finement ciselée et en dernier la farine de pois chiches, mélanger le tout à la main. Ajouter de l’eau jusqu’à l’obtention d’une pâte ni trop épaisse ni trop liquide.

Il ne vous reste plus qu’à plonger vos oignons ainsi enrobés dans l’huile chaude, utiliser une cuillère à soupe ou une petite louche pour former chaque beignet. Il vous faut, pour les frire, correctement une poêle assez profond (type wok) pour que le beignet puisse avoir de l’aisance pour bien gonfler!

Quand il sont bien dorés, sortir les beignets, les poser sur un papier absorbant ou une grille. En ce qui me concerne je les ai dégustés natures mais vous pouvez les accompagner d’une sauce de tamarin ou une sauce au coriandre, mais je trouve que l’oignon ainsi préparé se suffit à lui-même.

Voilà vous savez tout? Alors ce voyage culinaire jusqu’au pays des épices vous tente-t-il? Aimez-vous comme moi sortir des sentiers battus en matière de cuisine et surprendre vos convives ou votre famille? Avez-vous envie que je vous délivre d’autres recettes du même style?

Moi ,j’aime qu’à ma table on trouve des plats que l’on déguste rarement chez les autres et mes amis se régalent toujours quand je leur fais traverser d’autres paysages culinaires et souvent ils repartent avec la recette.

Je vous souhaite un très joli voyage au pays des épices et une bonne dégustation.

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Une pincée de tendresse et de délicatesse et vous ouvrez La Parenthèse

J’ai eu l’immense plaisir de faire la connaissance de Clémence, par le biais d’Instagram et le coup de coeur a été si fort que je ne pouvais pas manquer de vous la faire découvrir.

Clémence est une jeune femme d’une gentillesse, d’une douceur et d’une délicatesse qui m’ont charmée. Les deux heures que nous avons passées ensemble ont défilées à la vitesse d’un bon dessert,  comme une gourmandise, comment vous dire,  comme quand vous arrivez à la dernière bouchée de votre délicieuse glace à la vanille! Vous vous dites déjà c’est fini! Un goût de trop peu….c’est cela une jolie rencontre, un coup de coeur…..

Clémence, depuis l’enfance aime dessiner, elle illustrait son cahier de poésies déjà à l’école. Lorsque je me suis retrouvée face à elle, j’ai ressenti, c’est souvent ce qui se produit avec les personnes que je rencontre par l’intermédiaire de mon blog, que les créatrices font ce qu’elles sont. Clémence par sa posture quand elle regarde sa petite fille qui fait la sieste dans sa poussette, quand elle baisse les yeux, ou sourit d’émotion est, à elle toute seule, une forme de poésie, et effectivement le temps de cet interview, nous avons créer « une parenthèse de douceur et de poésie », nous n’entendions plus les bruits ambiants et pourtant je peux vous assurez, qu’en été, les bruits ambiants sur les terrasses des cafés sont assez sonores.

Au premier coup d’oeil, quand Clémence a posé timidement ses dessins sur la table, j’ai ressenti une très vive émotion et comme une vague de douceur. Les illustrations de Clémence sont douces, bucoliques, pastels souvent, et quand les teintes sont plus vives le dessin semble s’animer. C’est magique. J’ai beaucoup d’admiration pour les personnes qui dessinent, car pour moi dessiner nous révèle encore davantage que des mots écrits sur un carnet.

Le dessin est une activité plus délicate que l’écriture et qui demande énormément d’imagination, qui demande un sens du visuel, une capacité à observer la nature, les personnes, à ressentir les ambiances…. J’ai ,moi-même, quand j’étais plus jeune, réalisé beaucoup d’illustrations à partir de collage papier mais c’est une technique infiniment plus facile car on part d’une base, d’un papier illustré ou coloré alors que le dessin la feuille est vierge comme celle d’un carnet de voyages.

Clémence ne pensait jamais utiliser son talent pour devenir illustratrice, elle se destinait plutôt à une carrière dans l’architecture. Et la magie opère au moment de son congés maternité, cette « parenthèse » renforce son envie de dessiner et elle commence à penser à la décoration de chambres d’enfants. Elle s’inspire des Fables de Monsieur Jean de La Fontaine et les illustre à sa façon. Le résultat est stupéfiant, rien à voir avec les illustrations de Gustave Doré. On sent au travers de ses dessins son attachement à la nature, aux animaux, elle parvient à donner du relief au dessin et à même nous faire sentir la douceur du pelage du renard roux.

Soutenu et poussé par son mari qui croit en son talent, et j’avoue que je suis en tout point d’accord avec lui, elle lance sa petite entreprise de vente en ligne « La Parenthèse » des créations pour fixer le temps, n’est-ce pas joliment dit.

 

Sur son site vous trouverez tout ce dont vous rêvez, et vos souhaits seront exaucés dans tous les domaines, illustration de livres, illustration de mots d’enfants (une façon si tendre de ne pas les oublier), faire-part de mariage, de naissance, marque-pages (en préparation) et je l’espère illustration de carnet de voyages (c’est en tout cas la commande que j’ai passée à Clémence pour illustrer mes écrits lors de mon séjour en Inde).

Je voulais avant de fermer cette « Parenthèse » si douce, vous informer que Liveloveandcook et La Parenthèse ont décidé d’organiser un évènement le jeudi 3 Août à 18h dans mon jardin autour d’un petit buffet pour que vous puissiez profiter d’une exposition non virtuelle des illustrations de Clémence. Un moment de partage qui vous permettra de découvrir cette talentueuse créatrice mais également la douceur qui la caractérise.

Vous pourrez vous rendre-compte de la qualité de son trait, du choix des papiers qu’elle utilise et vous pourrez aussi lui faire part de vos souhaits pour un futur proche ou moins proche. Bien évidemment cet évènement sera gratuit et doit être pris comme un instant de rencontres et de plaisir, une halte au jardin c’est comme réciter une poésie.

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Art de la table

De tout temps j’ai été une grande amoureuse de vaisselle et j’ai toujours pris grand soin, que je sois seule à table ou entre amis, de présenter une table qui a de la personnalité, de l’originalité, de la délicatesse. La jolie vaisselle sublime votre table et vos mets. On ne boit par un bon verre de vin dans un gobelet en plastique, il en est de même pour déguster un bon repas.

Nous connaissons tous la délicatesse de la porcelaine de Limoges, mais connaissez-vous la faïence de Lunéville, une histoire qui commence en 1722 et qui se poursuit encore aujourd’hui. Je vais vous la faire découvrir par l’intermédiaire d’une enseigne qui vous offre de la qualité et de l’élégance, je vous en avais d’ailleurs déjà parlé au cours de mon billet sur le cristal. Il s’agit de la maison Veissière Cristaux dont j’admire le savoir-faire. Une maison de fabrication française qui a su traverser le temps sans prendre une ride!

Dans ce post je vais vous conter l’histoire de la faïencerie de Lunéville.

La maison Vessière Cristaux vous propose l’artisanat Lorrain, avec ces trois manufactures, fondées au XVIIIe siècle, un savoir-faire propre à la région. En effet, ces trois manufactures, tour à tour concurrentes ou alliées, se sont entourées des grands artistes de l’époque. Tel que le célèbre Emile Gallé, génie de l’art Nouveau (très connu pour ses lampes), en passant par Richard Mique ou encore Paul Louis Cyfflé. La faïence, terre cuite recouverte d’un émail opaque et blanc, fait ainsi partie de l’histoire Française. Chaque pièce est encore réalisée sur le site d’origine, dans les différentes manufactures. Ce qui permet de garantir une exceptionnelle qualité des produits. Une véritable volonté de création, qui allie techniques artisanales et rééditions d’objets anciens. Des manufactures qui traversent l’histoire, portées par des hommes, qui ont su satisfaire les exigences de leurs contemporains, un savoir-faire se transmettant de père en fils.

Ces manufactures sont aujourd’hui reconnues comme entreprise du Patrimoine Vivant. La Faïencerie de Lunéville – Saint-Clément est l’héritière des prestigieuses faïences de Lorraine depuis le XVIIIième siècle. Elles perpétuent, grâce à un savoir-faire exceptionnel et une grande créativité, la conception et la fabrication de service de tables et de pièces d’ornement haut de gamme. La faïence de Lunéville est reconnue à travers le monde entier. Ainsi, son exceptionnel raffinement et ses hautes qualités de fabrication depuis plusieurs générations en font une faïencerie haut de gamme.

Vessière cristaux, fort de 130 ans d’expérience, est votre boutique spécialiste du cristal, située à Baccarat depuis 1882. Son prestige vient avant tout de la sélection rigoureuse des cristaux ainsi qu’une réactivité immédiate.

Pour moi, la fabrication de la faïence est un véritable patrimoine français et fait partie du savoir-vivre et du savoir recevoir à la française. Je vous invite à feuilleter le catalogue en ligne de Veissière Cristaux, car si vous devez faire un joli cadeau, il n’y a pas de meilleure idée. En ce qui me concerne j’adore la vaisselle un peu « vintage » (que souvent je ramasse au grès des vides greniers). J’ai repéré sur le site de Veissiere Cristaux une théière absolument sublime et je vous avoue que si j’avais les moyens, je n’hésiterais pas une seconde, moi qui suis une grande collectionneuse de théières et une buveuse immodérée de thés et d’infusions je vous la montre ici.

Vous trouverez sur le site toute sorte de vaisselles et notamment des assiettes, elles font également partie de mes coups de coeur. Nous sommes en pleine période des mariages et cela serait vraiment une très belle idée de déposer une liste de mariage chez Veissiere Cristaux.

Des modèles d’assiettes ici d’une élégance et d’une délicatesse magnifiques à l’esprit bucolique, je suis vraiment fan! Vous trouverez tout un service de vaisselle complet du plat à tarte en passant par le pichet, les tasses à thé, tout est beau, autre exemple ici. et encore là.

Je vous l’accorde cette vaisselle est coûteuse mais sachez que, si ce savoir-faire unique, est encore debout aujourd’hui c’est qu’il est un art à part entière dont vous pouvez être fiers, sans être chauvine, c’est une manufacture française, connue dans le monde entier, et qui continue d’exister parce que nous l’aimons! Certes on peut se faire une jolie table avec de la vaisselle à bas coût mais posséder dans son vaisselier ne serait-ce qu’un service à thé ou même une théière , une pièce de cette valeur là est un luxe, mais un luxe dont vous ne vous lasserez jamais!

Soyez conscients de la valeur de l’artisanat français, je vous ai parlé de Baccarat, aujourd’hui de la Manufacture de Lunéville, alors n’êtes-vous pas séduits et fiers de l’artisanat lorrain?

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Bienvenue dans le monde d’Hypo

Hypo? Mais c’est qui celui-là et quel nom? Cela pourrait nous faire penser à hippopotame, hypothénuse, hypothèse, hippocampe.. et bien pas du tout, en pénétrant dans cette salle de théâtre, nous entrons dans la vie d’Hypo, ce petit garçon qui dès les premiers jours de sa vie a le malheur de vivre et de grandir dans le monde,  de l‘hypocondrie!

Qui ne sait pas ce qu’est l’hypocondrie (d’ailleurs beaucoup de mot finissant par ie et commençant par hypo….de vous à moi c’est pas bon signe, cela sent la maladie…. L’hypocondrie en une phrase  est un syndrome caractérisé par une peur et anxiété excessives et bouleversantes concernant la santé et le bon fonctionnement du corps d’un individu. … Ce qui laisse à supposer que lorsqu’on est touché par ce type de maladie on devient irascible, insupportable, associable, peureux, un supplice qui vous ligote autant que si vous enduriez la prison, rien de pire qu’être prisonnier de son mental.

J’ai eu l’immense privilège de passer un moment avec Hypo, qui contrairement à ce que l’on pourrait croire est un petit garçon fort attachant, et très drôle, qui a du caractère pour affirmer haut et fort sa différence. Affirmer sa différence par les temps qui courent ce n’est guère facile et en matière de maladie mentale c’est encore plus difficile. Vous imaginez le désarroi des parents face à ce type de problème, un enfant qui refuse d’aller dehors, de manger tel ou tel produit parce qu’il a lu que cela était néfaste pour la santé, qui ne veut pas faire de vélo par peur « d’obsolescence testiculaire » qui ne veut approcher que sa « Tatie Purée » qui est la seule à lui faire de la vraie purée et qui a le plus beau livre au monde « Le Vidal ». C’est désappointant comme situation pour les parents, mais pour les spectateurs c’est 1h30 de détente, de rire, de surprise, de jeux de mots, un vrai bonheur.

Ce spectacle théâtral au Palais Neptune à Toulon a été pour moi une parenthèse de bonheur comme je les aime, moi, amoureuse du théâtre et surtout de la langue française.

Hypo va se reproduire sur scène alors je vous en conjure ne ratez pas cette pièce qui vous fera rire, réfléchir, vous souvenir, tout à la fois, un petit bijou! Un jeune homme tout seul sur scène avec comme comparses pour l’accompagner dans cette fable burlesque 3 pauvres malles en carton mâché où il transporte toute sa vie.

Quand on décide de donner naissance à un enfant, en général on s’attend à tout un tas de surprises, de joies et de catastrophes, on sait qu’il y a des stades, oral, anal, adolescence, rébellion… On n’a suffisamment lu Régine Pernoud , Françoise Dolto, Piaget et tous les autres pour savoir que le chemin va être long, parfois joyeux, parfois moins.

On s’attend même parfois, surtout au moment de l’adolescence à des périodes difficiles qui peuvent conduire nos enfants dans le mutisme, et quelques pathologies telles que l’anorexie, la boulimie, la toxicomanie, l’addiction aux jeux vidéos mais l’hypocondrie? Quel parent s’attend-il à ce genre de catastrophe et bien pourtant parfois le diagnostic tombe et dès la naissance puisque déjà l’accouchement est difficile, l’enfant ne veut pas se résigner à sortir du ventre bien douillet de sa maman!

Et oui la vie est cruelle!

Notre Hypo de la pièce souffre donc de cette maladie qui est diagnostiquée très tôt, pratiquement à la naissance et c’est Hypo qui, lui-même sur scène, nous raconte le drame de sa vie, du tout petit enfant qui se réfugie chez Tatie Purée jusqu’au jeune adulte qui découvre le monde de Platon et le mythe de la caverne!

Je vous en offre un petit extraoi pour vous montrer le parcours que doit faire un enfant pour devenir homme. « Le mérite de Platon est d’avoir rendu imagée et visuelle cette sortie de l’ignorance que Socrate avait déjà si bien enseignée. Pour ce dernier en effet, le premier pas de la philosophie consiste à prendre conscience de son ignorance, c’est-à-dire de prendre un certain recul par rapport à ses opinions, ce qui n’est pas chose facile. Dans la pratique, on constate qu’il n’est pas aussi simple de se défaire de ses préjugés ou opinions toutes faites. La sortie de la caverne représente le fait que, lorsqu’on commence à réfléchir, on prend une certaine distance par rapport à ses opinions et on apprend à distinguer ce qui est réel de ce qui est apparent ou illusoire. La méthode de Socrate pour délivrer ses concitoyens de l’ignorance passait par la pratique du dialogue, c’est-à-dire la capacité de s’interroger soi-même, avec rigueur et méthode, pour sortir des faux-semblants et des idées reçues. Le retour dans la caverne symbolise la confrontation des idées découvertes à l’expérimentation quotidienne. » Au jour d’aujourd’hui on parle beaucoup des 5 Accords Toltèques qui nous ramènent à la même méthode pour vivre mieux.

Cette pièce est un voyage au pays du rire et de la fantaisie, du burlesque et en même temps de la vérité des choses de la vie et je tire vraiment un grand coup de chapeau à Lucas Andrieu pour son one man show. Tenir en haleine toute une salle en racontant sa vie, il fallait être capable de le faire et de trouver les mots pour que le spectateur reste assis et se questionne sur la chute,  Comment va se terminer le cauchemar de ce pauvre jeune homme.

Cette pièce est mise en scène par Xavier-Adrien Laurent et librement inspirée par le roman de Christian Astolfi avec la collaboration de Laura Leoni. Une pièce fine, intelligente et drôle à la fois  que vous devriez tous aller voir.

Et puis cela vous fera rire certes, mais aussi réfléchir sur le handicap des maladies mentales, car l’hypocondrie est une maladie mentale dont souffre de nombreuses personnes mais qui reste tabou, même le cinéaste Howard Hughes, souffrait de troubles mentaux de cet ordre, il avait une peur panique des microbes. Cela vous incitera peut-être à être plus tolérants, plus bienveillants envers les personnes qui souffrent de désordres mentaux car je peux vous assurer que la maladie mentale est un fardeau peut-être plus lourd qu’une maladie physique car elle est encore à notre époque une maladie honteuse, laisser son mental prendre les commandes de sa vie semble absolument impensable pour la majorité des gens.

Voilà je pense vous avoir dit mon ressenti, et le bonheur que j’ai eu d’être présente à la représentation du Palais Neptune je remercie Lucas Andrieu bien sûr en premier lieu pour ce magnifique cadeau car j’ai rarement la possibilité d’aller au théâtre et tout particulièrement sa maman Nathalie Barrière Andrieu pour son invitation généreuse et qui m’a apportée un moment de fantaisie, de plaisir et surtout d’émotion!

Mon dernier mot allez voir la pièce HYPO!!! et sans tarder…

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