Voyager léger

Pour voyager loin, il faut ménager sa monture dit-on, mais il faut également essayer d’alléger au maximum ses bagages, surtout quand on part dans certaines conditions où le luxe n’a pas sa place et dans des contrées lointaines.

D’ordinaire, je voyage loin et je prends des vols où les valises voltigent de soute en soute donc j’opte toujours pour une valise solide à roulettes, indestructible, inviolable.

Cette fois, à voyage exceptionnel, valise exceptionnelle! Et cette valise d’exception je l’ai trouvée chez Babou.

Me voilà sur le point de partir faire un trek au Népal et mon principal soucis est le poids de la valise. Non seulement il n’y aura rien de valeur dans cette valise, mais surtout je veux épargner le plus de charges aux « sherpas » qui vont devoir porter les charges de temps à autres.

Il me fallait absolument un bagage léger à roulettes, le plus léger possible. Je me suis rendue compte que même le grand sac à dos classique restait, lui aussi, un bagage beaucoup trop lourd pour moi et surtout pour les porteurs « les sherpas » qui vous guident et vous accompagnent sur la chaîne des Annapurnas.

Cette valise est en toile, un coup de canif pourrait la déchirer, mais elle pèse vide 1,9 kg, un poids minuscule pour une femme minuscule. Vide, je peux la soulever avec un doigt, et pleine de mes affaires spéciales trekking elle restera très légère à traîner. Je suis vraiment satisfaite de ma trouvaille.

Sachez que si vous cherchez des bagages, Babou est l’endroit idéal pour trouver ce que vous voulez. Vous trouverez toutes sortes de bagages, sac à dos, valises rigides à roulettes, trousse de toilette…

Tout est chez Babou pour un voyage parfait!

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Chasseur d’images

J’ai fait, très récemment, grâce à Sophie Pelikan, créatrice de Créa-cord, mon billet ici, une magnifique rencontre. Une rencontre avec un artiste mais pas que, une rencontre avec un peu mon double.

Comme moi Pascal Langianni est un passionné d’images, de captures d’émotions, de captures de moments éphémères. L’émotion peut être transmise soit par des mots, soit par des images, soit même par des sons, l’émotion est d’ailleurs ce qui fait le socle d’un bon film.

Mon émotion, je la traduis la plupart du temps par des mots écrits car je n’ai malheureusement pas le talent de Pascal Langianni, un photographe absolument exceptionnel et au passage, je remercie Sophie d’avoir pu me faire rencontrer une personne de qualité, une personne rare, je n’ai pas peur des mots. Vous connaissez mon honnêteté sur ce blog, je ne parle qu’avec mon coeur et souvent mes tripes et si aujourd’hui je viens vers vous pour vous raconter cette rencontre c’est que je sais qu‘un artiste n’a pas le droit de vivre dans l’ombre et je souhaiterais mettre le projecteur sur ce chasseur d’images que je viens de croiser.

Un poète, lui, est amoureux des ciels d’orages, des lumières sur la ville, des paysages, des moments d’amour, des instants qu’on voudrait éternels, moi  je suis une amoureuse des mots car malheureusement je ne maîtrise pas la photographie.

Pascal Langiani fait plus que « prendre une photo », il sait quand il faut déclencher et pourquoi c’est maintenant qu’il faut appuyer sur le déclencheur, et cela n’a absolument rien à voir avec une technique ou un simple savoir faire.

Pascal sait « regarder » il sait « voir » il sait capturer l’émotion pure de certains moments que nous offre la vie. Capturer l’émotion, faire vibrer la personne qui va regarder le cliché est la chose la plus difficile et en même temps la plus magique que doit savoir faire un photographe.

Pensez aux clichés de Henri Cartier-Bresson ou le photographe, que n’importe quel profane connaît, Monsieur Robert Doisneau, regardez les nus de Jeanloup Sieff et vous y verrez tout autre chose que des corps nus de femmes, vous y verrez de l’amour. Tous ces grands photographes nous émerveillent car ils appuient sur le déclencheur au moment opportun, au moment choisi, au moment parfait.

Comme les grands reporters de guerre, comme Robert Capa, qui arrivent à vous faire pleurer juste avec une image qui, pourtant, est fixe! Vous arrivez à percevoir au-delà de l’image, vous entendez les bruits de balles, les corps qui tombent dans la poussière, les cris, vous êtes dans la guerre vous aussi…

Pascal Langianni vous montre un ciel d’orage, et vous voilà tout dégoulinant de  pluie, vous sentez l’eau tomber sur vos épaules, vous sentez l’herbe mouillée sous vos pieds, vous entendez les roulements de tonnerre, vous êtes dans l’orage…

Pascal sait également, comme peu savent le faire d’une manière naturelle et authentique, capturer les moments d’amour, alors faites lui confiance et chargez le de capturer vos moments de pure bonheur. Confiez lui votre visage et il saura parler de vous comme personne, il saura dévoiler quelle femme ou quel homme vous êtes, et ce qui vous fait vibrer.

Pascal, saura-t-il, avec ses clichés vous parler de moi et vous faire sentir la personne que je suis à l’intérieur, celle cachée, celle pudique, bientôt vous le saurez et cela fera l’objet d’un autre billet sur ce brillant photographe.

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La guerre des sous

Pourquoi la majorité des querelles, grandes ou petites ont toutes pour origine l’appât du gain?

 

 

L’argent semble être devenu un véritable poison! Ceux qui en ont, en veulent davantage, ceux qui n’en n’ont pas le convoitent…. Pourquoi amasser de l’argent, amasser des biens, être propriétaire, avoir une voiture plus belle que celle du voisin, pourquoi vouloir toujours plus, pourquoi l’homme est-il éternellement insatisfait?

Pourquoi « avoir de l’avoir dans ses armoires » comme le chante si bien Alain Souchon devient-il la préoccupation principale de pratiquement chacun d’entre nous? La seule manière de se sentir « intégré » ou de se sentir « heureux »? Pourquoi oublions nous tous que nous ne sommes que « locataires » ici bas? Je ne dis pas que l’argent n’est pas important mais une fois que l’on a acquis un certain niveau de bien-être pourquoi la quête ne s’arrête-t-elle pas enfin?

Pourquoi ne pas poser ses valises, et respirer admirer le paysage, la nature, et se satisfaire simplement d’être en vie et en pleine santé.

L’amour et la santé voilà les seules richesses à mes yeux, que fait-on seul, même riche?

En ce qui me concerne, je suis persuadée et je n’ai jamais cherché l’appât du gain, gagner plus pourquoi faire? Très souvent, on ne dispose jamais de temps pour le dépenser!

J’ai toujours été « insensible » à l’appât du gain, amasser mais pourquoi donc? Je ne dis pas que je suis dédaigneuse face à l’argent, cela est bien agréable d’en avoir mais si j’ai épargné c’est avant tout pour sécuriser un tant soit peu le périmètre, surtout lorsqu’on est responsable d’un enfant.

Je suis heureuse aujourd’hui de ce que j’ai acquis et je ne convoite rien de plus si ce n’est la paix, la sérénité, l’amour. Il m’arrive comme tout un chacun d’avoir parfois « la fièvre acheteuse » mais c’est souvent lorsque je me sens vide à l’intérieur, mal aimée, délaissée et que mon parcours de vie perd de son sens…. Alors c’est dans ce cas que la méditation est bien utile, le questionnement, la prise de conscience est nécessaire. « L’oeil était dans la tombe est regardé Caïn » Car, si ce n’est la quête d’amour quel est mon véritable désir? Sûrement pas au fond d’avoir une nouvelle paire de chaussures!

Qu’est ce qui me pousse à continuer le chemin, l’achat de « l’iphone 8 » ou plutôt retrouver un compagnon de route, une main dans la mienne, un doux baiser sur mes lèvres, la visite d’une amie, le rire d’un enfant, le sourire d’un passant, les baisers baveux de mes chiens…qu’y a t-il de plus précieux que cela?

Je crois que je suis une foule sentimentale à moi toute seule, je vis dans le monde des « bisounours », je ne parviens jamais à montrer les dents et surtout pas pour des questions d’argent, il est si doux de donner sans que rien ne nous soit exigé, faire plaisir à l’autre n’est-il pas plus jouissif que de se gâter soi-même.

J’ai eu l’immense chagrin de perdre mon père en septembre dernier et en janvier, je reste inconsolable, malgré le fait que ce père a été absent pour moi, si dur parfois, si peu compréhensif, ma belle-mère de même, quant à mes deux soeurs elles dansent autour d’un héritage en espérant en tirer le meilleur parti.

Moi à ce jour, je prends conscience que le seul lien qui me liait à ce semblant de famille était mon père et aujourd’hui son silence, son départ ont définitivement mis un terme aux relations avec mes soeurs et ma belle-mère. Quoique belliqueuses, mes soeurs restent mes soeurs et je ne parviens toujours pas à comprendre en quoi la possession de tout un héritage va apaiser le chagrin d’avoir perdu un père et tout cela en écrasant par leur méchanceté leur soeur que je suis malgré tout, qu’elles le veuillent ou non, leur père est aussi le mien.

Je suppose qu’à chaque famille, ses problèmes, à chaque décès, un problème d’héritage et un partage difficile. Comment une famille qui se crée grâce à l’amour d’un homme et d’une femme peut-il se transformer en  une haine glaciale et sans limite.

Ce deuil, ce pseudo héritage, m’ont permis de réfléchir encore davantage à mon rapport  à l’argent et à la consommation c’est ce qui justifie ce billet aujourd’hui. Mon père était très économe et il laisse derrière lui des biens,  mais je me rends compte aujourd’hui que le chagrin de ne pas avoir eu de père ne sera remplacé par aucun pécule. Depuis toujours ma vie n’a rien eu de facile et que je me suis habituée depuis mes 20 ans  à me restreindre même au moment où ma situation professionnelle a été la plus avantageuse, j’ai continué à avoir le même train de vie et à faire attention à l’argent (entre autres pour mettre à l’abri ma fille).

Ainsi, aujourd’hui j’ai réussi à construire ma vie comme une fourmi, mais fière de l’être, j’ai choyé ma fille, choyé mes amies avec mes moyens, mais surtout pas avec de l’argent ou des cadeaux hors de prix mais avec toute ma disponibilité et mon amour et c’est tout cet amour qui me rend plus riche que beaucoup de personnes autour de moi, à commencer par mon ancienne famille, mes soeurs et ma belle-mère et je leur souhaite un jour de connaitre, elles aussi, le plaisir de donner sans rien attendre en retour.

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L’horloge

Très bizarrement, nous sommes tous en train de nous plaindre que le temps passe trop vite, que nous n’arrivons pas à réaliser en un jour tout ce que nous voudrions faire et pourtant l’horloge est un objet que nous trouvons sur les murs de toutes les maisons.

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Le temps a toujours été un élément important et objet de souffrance pour chacun et cela en tout temps. Vous connaissez tous, j’en suis certaine la poésie de Baudelaire, un expert pour traduire la souffrance qu’engendre le temps qui s’écoule…. En voici quelques vers qui vous glacent le dos!

« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. »

Je fais partie de celles et ceux préoccupés par le passage du temps, par le sablier qui se vide, par les aiguilles qui tournent et pourtant, comme tout un chacun, j’adore les horloges qui peuvent être un très bel objet de décoration intérieure.

Je voulais vous montrer celle que j’ai décidé de choisir pour accrocher sur le mur de ma cuisine. Je l’ai trouvée chez Babou, d’un style un peu industriel, légère, décorative, sobre, elle convient tout à fait au style de ma maison. Le temps passe toujours ….mais plus joliment avec une telle horloge!

Et vous aimez-vous les horloges? ou les montres qui font aussi partie d’objets précieux, quand on traîne devant les boutiques de bijouterie combien de montres nous font craquer également….

Néanmoins, le temps passe trop vite et horloge ou pas je suis une femme inconditionnellement en retard, surtout depuis que je ne travaille plus….mais je vous assure que j’en ai honte!!!

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