Que celles et ceux qui ne sont pas gourmands de chocolat lèvent le doigt! Je vois que nous ne sommes pas très nombreux à bouder cette fabuleuse gourmandise!
Le chocolat n’est pas seulement une gourmandise c’est une histoire personnelle pour chacun, une saveur différente pour chacun.
Vous connaissez je pense tous, si vous me suivez sur ce blog ma passion et même je dirais mon addiction pour ce délicieux breuvage qu’est le thé. J’en consomme en toutes saisons.
L’hiver je le choisis plutôt gourmand aux senteurs vanille, caramel, amandes, cannelle…. et l’été plutôt fruité et je le consomme froid. Je suis amoureuse de plusieurs marques de thé et je suis très exigeante en matière de qualité. Je ne supporte pas le thé en sachets, pour moi préparer du thé est un véritable rituel dans ma vie de tous les jours. On ne bâcle jamais la préparation du thé (température de l’eau, temps d’infusion….) selon qu’il soit blanc, vert ou noir ou fumé.
Le thé est pour moi comme une gourmandise, je l’utilise comme boisson mais également comme épices pour aromatiser mes plats et faire de la pâtisserie.
Cela je l’ai appris au fil du temps et en devenant hôtesse de la grande marque de thé Asthéya. J’ai maintenant à mon actif une multitude de petites recettes que je collectionne au fil des escales (sablés, cake, flan, panna cotta…)
Aujourd’hui le parfum d’un thé m’a particulièrement chatouillé les narines quand l’ambassadrice me l’a fait sentir. Il s’agit d’un petit nouveau qui va sortir à Noël. Ce thé m’a donné envie de le décliner hors de la théière et de m’en servir pour aromatiser mes yaourts maison.
Au passage je vous informe que ce thé sera présenté à mes invités lors de l’escale du 2 décembre sur le thème de « Noël au Canada » et je préparerais un banana bread aromatisé au thé « jardin d’hiver ».
Le thé dont je vous parle, un peu en avant première, s’appelle « Un week-end au bord du lac » c’est un thé noir aux senteurs vraiment très cacaotées. Cette divine odeur de chocolat donne envie de faire de la pâtisserie bien évidemment mais pour une fois j’ai décidé d’utiliser ce parfum pour aromatiser mes yaourts maison.
Il suffit pour cela de faire infuser mon thé dans le lait que je vais utiliser pour mes yaourts.
La recette pour 8 yaourts
1 litre de lait
1 yaourt ou 1 sachet de ferment lactique
2 cuillères à soupe de sucre
3 cuillères à café de thé
J’ai fait doucement chauffé mon lait avec le thé et j’ai laissé infusé tranquillement au moins un bon quart d’heure, puis j’ai utilisé ce lait comme je le fais pour ma préparation de yaourts classiques.
Pour faire des yaourts il vous suffit de mélanger tous les ingrédients et de verser la préparation dans les pots de votre yaourtière.
Il faut compter une nuit de chauffage dans l’appareil et le lendemain il vous suffit de placer vos yaourts au réfrigérateur.
Bien évidemment ces yaourts sont sans conservateur donc à consommer rapidement dans la semaine.
Vous pouvez tester cette recette avec d’autres thés comme celui au caramel beurre salé qui est également très très gourmand ou le thé de Noël aux épices, vous trouverez ces thés chez Une histoire de famille, une enseigne varoise située à Avenue 83. Cette boutique est très chère à mon coeur par la qualité de ses produits (dont le thé) et l’accueil extrêmement chaleureux qu’on vous réserve à chaque visite.
En tout cas, laissez divaguer votre inspiration, humez, sentez, expérimentez et régalez vous…vous n’avez que très peu de chances de vous tromper…
Je vous souhaite une bonne dégustation.
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Lors de mon dernier shopping chez Grain de Malice, j’ai effectivement profité des soldes nombreuses mais j’ai vraiment eu la chance de tomber sur des coloris qui sentent le printemps.
La petite tenue que je vous propose aujourd’hui est composée d’un pantalon, type jean, taille haute d’une ancienne collection et un top de la nouvelle collection. L’association de ces deux pièces, par leurs couleurs, a glissé dans mon look un petit air de printemps, vert tendre et petit pull léger à fleurs, au demeurant très sexy grâce à son laçage sur le devant.
Le vert amande est une couleur parfaite pour faire la transition entre hiver et printemps. Ce pull au toucher tellement doux qu’on le porte à même la peau et aux motifs fleuris apportent de la féminité et de la sensualité au look. Le jean vert amande est particulièrement raccord.
Pour continuer à rêver au printemps, j’ai choisi de réchauffer la tenue avec ma veste en suédine framboise, dénichée chez Blancheporte l’année dernière et comme vous l’avez deviné si vous me suivez sur ce blog, le framboise est une des mes couleurs fétiches. Une couleur parfaite pour les brunes et qui illumine le teint.
Aujourd’hui j’ai lâché mes bottines noires pour chausser des bottines camel, un pas en avant vers le printemps. Ces petites bottines viennent de chez Eram, un chaussant qui me va comme un gant, très confortable et le petit talon ajoute une note de féminité.
Au niveau accessoires, pas grand chose, une casquette en cuir offerte par un ami, une paire de gants en nubuck couleur prune trouvée au moment des soldes chez Promod à un prix riquiqui ! Et une petite sacoche dénichée pour 6€ à Avenue 83.
Chez Grain de Malice, le jour de mon shopping tous les bijoux étaient soldés à 50% c’était le moment de me faire plaisir, j’y ai trouvé une paire de petites boucles d’oreilles façon vieux cristal ainsi que la bague assortie. Des petites fantaisies classiques à porter à l’infini… Et franchement la bijouterie fantaisie ça me va, je n’aspire pas à porter des bijoux luxueux et j’aurais si peur de les perdre ou de me les faire voler!
Alors et vous, êtes-vous comme moi, impatiente de lâcher les manteaux et d’arborer les couleurs du printemps? Commencer, faites comme moi, précipitez-vous chez Grain de Malice vous y trouverez à coup sûr les pièces qui vous permettront de patienter jusqu’à l’arrivée du printemps.
Merci encore mille fois à mon photographe Pascal Langianni qui sait déclencher au moment parfait! Je ne me suis jamais senti aussi femme alors que je n’ai pas de maquillage et que je ne suis même pas coiffée.
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Crédits photos: Pascal Langianni
A l’occasion d’un évènement organisé un dimanche matin vers 8h30 par Le Varois.com, le restaurant Crêpes du Monde, situé à l’Avenue 83 et l’association EnEquilibre.asso j’ai non seulement dégusté un brunch vraiment comme je les rêve, comme je les aime, un brunch vegan et heathy mais j’ai surtout découvert une autre pratique du yoga.
Depuis le mois de juin, j’ai découvert, dans ma quête de reconstruction intérieure et extérieure, la pratique de la méditation et de l’hatha yoga avec mon professeur et maintenant amie Jessica Roméo, j’ai d’ailleurs écrit un article à ce propos, ici, ce fameux dimanche, j’ai découvert grâce à cet évènement , une nouvelle pratique l’Ashtanga yoga.
Une pratique toute différente, plus tonique, plus difficile, mais je ne suis pas femme à laisser tomber ce que j’entreprends, moins portée sur la méditation mais tout aussi intéressante. Cette pratique d’ailleurs m’a fait comprendre comment aller être longue la route vers la réparation de mon corps bien fatigué et à bout de force. Il est loin le temps où je randonnais d’un bon pas vers le sommet du glacier blanc!
Un petit mot sur l’origine de l’Ashatanga Yoga: (source Wikipédia)
Lorsque le terme aṣṭāṅga est associé au mot yoga pour former le vocable aṣṭāṅgayoga, celui-ci désigne le yoga en huit membres (aṅga) mentionnés dans les Yoga Sūtra de Patañjali. Ceux-ci se composent des cinq restrictions ou réfrènements (yama), des cinq vertus (niyama), des postures (āsana), de la discipline du souffle (prāṇāyāma), de l’abstraction des sens (pratyāhāra), de la concentration (dhāraṇā), de la méditation (dhyāna) et de la contemplation méditative (samādhi).
Aṣṭāṅgayoga est également utilisé pour désigner l’Ashtanga Vinyasa Yoga tel qu’enseigné par Pattabhi Jois. Il est orthographié à l’occidentale ashtanga yoga.
Depuis ce fameux dimanche, un déclic s’est produit en moi et comme souvent quand j’ai un déclic je ne tourne pas les talons. J’avais envie d’aller plus avant dans la découverte de cette nouvelle pratique du yoga sans pour autant abandonner l’hatha-yoga qui reste et demeure pour moi un vrai besoin et qui m’apporte bien plus qu’un bien être physique.
Jessica Roméo m’a appris à avoir de la compassion pour moi-même, elle m’a appris que d’avoir une âme c’est bien mais sans le corps l’âme s’envole et on ne peut plus aider autrui comme j’aime le faire. J’ai appris une nouvelle philosophie de vie, l’art de me retrouver avec moi-même, un travail sur l’ego, un travail sur la bienveillance que je dois atteindre envers moi-même.
La bienveillance pour les autres, je n’en ai jamais manqué, j’en ait fait même mon métier en devenant éducatrice pour essayer de sortir des jeunes mineurs d’un chemin de vie perturbé et chaotique.
Aujourd’hui j’ai envie de retrouver ma force physique et le yoga demande tellement de persévérance, d’efforts mais toujours dans la bienveillance envers soi-même que je dois poursuivre ce chemin vers une autre liberté celle de redonner envie à mon corps et mon coeur de gravir des sommets comme lorsque je faisais de la randonnée en montagne mais sans jamais oublier qu’il faut faire un pas après l’autre.
Le yoga est un sport qui se mérite, et cela dans la non-violence et le respect de ses limites. Sylvie Castelle, mon professeur d’Ashantaga nous le rappelle à chaque séance, soyez dans le bien-être et non dans la performance.
Ce qui me plaît dans la pratique du yoga c’est qu’il n’y a pas cette notion de compétition, notre tapis est magique et sa magie est différente de celle du tapis voisin tout aussi magique, chacun est capable de ce qu’il ressent et non de ce qu’il doit faire. Jamais je n’avais ressenti une telle liberté avant ma rencontre spirituelle avec le yoga. Avant le yoga je faisais tout à 10.000 à l’heure sans écouter mes limites, et même le sport, j’en ai fait toute ma vie, devenait une « obligation » et j’avais besoin de sentir mon corps souffrir pour réussir et pour avoir l’impression d’avoir bien travailler. Aucune commune mesure avec la pratique du yoga, où on doit respecter son corps et lui faire du bien!
La philosophie de l’hatha-yoga et de l’ashtanga m’a appris qu’il faut prendre le temps de vivre sa vie, ici et maintenant, et que seul le chemin importe et pas le but! Depuis ma rencontre avec Jessica et ensuite Sylvie j’essaie de convaincre les femmes et même les hommes autour de moi de pratiquer le yoga pour apprendre à se mettre, l’espace d’une heure, dans une bulle de lumière et de bien être, pour mieux aimer sa vie et affronter les douleurs que nous endurons tous.
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