C’est toujours un risque de lire un deuxième roman lorsque le premier nous a enchanté c’est comme quand on a vécu une jolie passion amoureuse on attend de la deuxième la même vibration.
Après « Les Prisonniers de la Liberté » je me suis faite happée, embarquée à nouveau pour un voyage vertigineux et romanesque.
Ce roman, est un pavé de 800 pages mais Luca Di Fulvio confirme avec Les Enfants de Venise son talent de conteur.