La vie est belle!

Oh que oui, elle est belle la vie et pourtant j’ai traversé 5 ans de détresse, de désespoir absolu où cette vie me semblait un fardeau, un fardeau de plus en plus lourd à porter où seule la mort me semblait être le refuge… Je ne trouvais pas l’issue…

Un « burn out » est la chose la plus difficile que j’ai eu à surmonter, couronné d’un chagrin d’amour, puisque j’ai dû me séparer de mon mari au début de la maladie. J’ai mis pratiquement cinq ans à me relever, à réapprendre à manger, à dormir, à marcher, à parler….à respirer, à vivre.

La découverte de l’hatha-yoga par l’intermédiaire de mon professeur de l’époque Jessica Roméo ainsi que ma passion pour l’écriture m’ont tirée peu à peu de cette descente aux enfers et aujourd’hui à 60 ans pourtant, je le dis haut et fort, la vie est belle et effectivement après l’orage le soleil peut refaire son apparition.

Et puis l’amour est à nouveau venu illuminer ma vie, alors que je n’y croyais plus, par le biais, l’attention, l’affection, la disponibilité de mes amies et très récemment la rencontre d’un homme….Jamais je ne pensais faire à nouveau confiance à l’amour, et encore moins à un homme….

Alors je vous présente mon bonheur par le biais d’un petit look mode et à travers deux marques que j’affectionne particulièrement Grain de Malice (rien que le nom met de la malice dans vos tenues) et Karma Koma une enseigne française basée en Corse et à Bali dont je vous ai déjà parlée dans d’autres billets.

Je porte ici mon pantalon à imprimés tropicaux de Grain de Malice que j’ai dépareillé avec un top court et très échancré dans le dos de Karma Koma d’une couleur bleu canard éclatante! L’ensemble fait un joli effet et se suffit à lui-même, besoin de rien d’autres.

Je porte d’anciennes sandales à lacets de chez Bershka et quelques petits bijoux, des boucles d’oreilles superbes qui viennent de chez Le Lotus Bleu et moi je suis fan des créoles . Mon sac besace moutarde vient d’une ancienne collection de l’enseigne à petit prix Kiabi, Et surtout je souris à la vie et le sourire cela change tout.

Alors mesdames essayez de prendre du recul, quand tout va mal et continuez à sourire, la vie n’est jamais finie tant qu’il y a le souffle, la petite flamme de bougie reste allumée et je suis très bien placée pour le savoir.

Quand tout va mal, pensez à vos souvenirs heureux, à la caresse du soleil, au sourire de vos enfants, à votre plat préféré, à la jolie balade que vous avez faite avec votre amoureux, aux câlins de votre chat….le bonheur est une multitude de petits détails et même si le compte en banque est vide ce n’est pas mortel, prenez de la hauteur et cessez d’avoir peur…. Accrochez vous à l’amour de ceux que vous aimez…

Je vous souhaite une très belle vie d’amour et amusez-vous à vous looker avec trois fois rien, ça change les idées!

Je remercie encore mon amie Céline pour sa disponibilité, son affection et ce magnifique shooting.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !

Mon expérience du Reiki

Quant on a écumé tous les traitements possibles pour soigner une maladie qui s’accroche à votre peau, quand vous arrivez au bout de 40 ans usée, fatiguée, abusée par tous les traitements chimiques pour tenter de combattre et de continuer la route, il vous vient à penser que, peut-être, une médecine tout autre, loin de l’allopathie pourrait vous apporter un peu de réconfort.

C’est ainsi que j’en suis venue tout doucement à pratiquer l’hatha-yoga, puis l’ashtanga, la méditation, la naturopathie….Je me suis également intéressée aux pouvoirs des pierres et peu importe ce que l’on pense de moi le petit quartz rose posé sous mon oreiller me rassure et mon pendentif en rhodonite m’apaise et soulage mon stress.

Des années et des années face à un psychiatre n’ont pas eu le dessus face à une maladie comme l’anorexie mentale. Une maladie qui me poursuit, qui me détruit, que j’essaie de dompter, d’amadouer mais qui m’empêche de me materner, de me faire du bien, de m’aimer, d’aimer mon corps et de le supporter. Ceux qui ne connaissent, ni la dépression, ni la maladie mentale ne peuvent comprendre la souffrance d’une personne dépressive.

Le spleen envahit votre  vie en permanence, il y des hauts et subitement des bas, vous vous croyez guérie mais vous ne l’êtes jamais! L’envie de mourir… lancinante et sournoise est tapie…. Et vous survivez un jour après l’autre avec une quête infinie de sens…

Je n’ai jamais pu m’aimer car personne ne m’a aimé enfant, alors pour essayer de donner du sens à ma vie j’ai décidé de donner tout cet amour que je n’ai pas reçu aux autres et surtout aux adolescents dont je me suis occupés tout au long de ma carrière au Ministère de la Justice. Aujourd’hui c’est tout l’amour que j’essaie de distribuer autour de moi qui donne sens à mon existence, à mon passage ici mais en ce moment j’ai beau pédalé les dénivelés me semblent de plus en plus difficiles à surmonter….

Alors je me suis dit pourquoi pas le reiki, des mains qui ne sont pas les miennes pour apaiser mes maux, pour faire émerger tout ce chagrin enfoui, tapi en moi depuis si longtemps, des larmes qui ne sortent pas, des cris qui ne sortent pas, une colère qui ne s’exprime pas…. Une vie de mensonges en fait où on devient une image pour donner le change car soyons vrais les gens n’aiment pas fréquenter des personnes malades ou toxiques et cela est bien normal. Alors quand on se sent soi-même toxique on essaie de se construire un personnage, une image épanouie, souriante, heureuse mais on s’endort souvent pelotonnée dans son mal-être, son mal de vivre, son chagrin.

Quelle est la définition du Reiki ?

C’est un mot japonais qui signifie « la force de l’esprit » (traduction littérale : « énergie de l’esprit »). C’est l’union de la méditation et du toucher relaxant sur des points du corps, pour favoriser la remise en route des potentiels naturels solutionnant de la personne. Grâce à cela, chacun peut développer ses potentiels naturels intrinsèques pour accéder à son bien-être naturel et durable.

Comme toutes les pratiques énergétiques venues d’Orient (Taï-Chi, Qi-Qong, Aïkido, etc), le Reiki permet de savoir gérer ses énergies. A la différence de ces pratiques, la gestion de nos énergies internes concerne à la fois le corps physique, mais aussi notre esprit (avec ses pensées et ses émotions).

J’ai fait il y a quatre jours l’expérience du Reiki, grâce à la générosité de Sylvia Winterstein car c’est elle qui est venue à moi, comme si un ange avait décidé de me montrer le chemin, je ne suis pas une personne mystique mais j’avoue que cette expérience m’a réellement retournée, bouleversée, catapultée dans un monde obscure où je n’osais plus jamais m’aventurer, mon monde de chagrins…. Sylvia m’a permis de commencer à faire sortir tout ce chagrin, à m’autoriser à accepter de dire que j’ai mal!

Sylvia, par son magnétisme, son don, mais aussi son charisme m’a approchée, m’a touchée et elle a fait émerger des fantômes du passé à en faire couler des torrents de larmes, pendant des jours, des nuits, comme si je n’avais jamais pleuré… Cette expérience n’est pas finie pour moi.

Sylvia m’a fait prendre conscience que je ne peux continuer à cohabiter avec ce mal-être   Sylvia m’a donné envie de sortir de ce chagrin qui entrave ma vie même si aujourd’hui j’ai 60 ans et le sentiment qu’il est déjà trop tard!

Bibliographie si vous vous intéressez au sujet que j’ai évoqué aujourd’hui dans ce billet:

A lire:

Reiki, sagesse et compassion de Patrice Gros. Les notions philosophiques et spirituelles de l’initiation (Le Rocher, 1999).

Reiki : comment les mains guérissent et harmonisent de Tanmaya Honervogt. Un guide pratique illustré (Courrier du livre, 1998).

Le Reiki de Chinta B. Strubin. Résumé des grands principes de la technique. (Bernet-Danilo, 1998).

Reiki de K. Losi. Petit traité illustré pour s’initier aux gestes fondamentaux (De Vecchi, 1998).

ABC du reiki de Paul Wagner. Les bases de la technique, accessibles à tous (Grancher, 2000).

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !

Une autre façon de prendre soin de soi

Pour en venir au thème de l’article que je vous propose aujourd’hui, je suis obligée à titre d’exemple de vous parler un peu de moi, et j’espère que cela ne choquera personne. Je suis atteinte de troubles alimentaires depuis mon enfance. Après beaucoup de crises et tentatives de suicide à répétition, le diagnostic d’anorexie mentale est tombé alors que j’avais déjà 30 ans.

C’est à ce moment là que j’ai été prise en charge pour la première fois par la médecine. La première démarche des médecins a été de combattre la maladie et les dégâts qu’elle provoquait sur mon corps par une dose massive de chimie. Une panoplie d’anti-dépresseurs, d’anxiolytiques, de somnifères m’a été prescrite, et en parallèle un suivi psychiatrique qui a commencé à 30 ans et se poursuit encore pour éviter que je chute du côté « obscur », sauf que les anorexiques à force de flirter avec la mort n’en n’ont pas peur du tout.

C’est l’entourage qui a peur, l’anorexique se sent invincible c’est bien là le drame. Pour sortir de cet engrenage pathologique, il faut essayer de comprendre pourquoi il faut se nourrir et comprendre que de n’être qu’un pur esprit ne peut se faire sans un corps, comme dit Platon « Il serait folie de vouloir guérir le corps sans guérir l’esprit » , le corps est le véhicule qui va vous permettre d’aimer, de partager, de penser, d’écrire et c’est un leurre de penser que l’on peut être juste « un ange ». Car au début le fait de ne pas vous nourrir vous donne une impression de toute puissance, de maîtrise de soi, de supériorité jusqu’au jour où votre corps se rappelle à vous et que vous ne pouvez plus le contrôler, il vous lâche vraiment (évanouissement, dérèglement digestif, déficit en calcium, chute de cheveux, des dents, squelette douloureux, asthénie permanente, aménorrhée, migraines insupportables, déshydratation de la peau, eczéma……) Tout cela je le vis et c’est une bataille permanente pour me convaincre que mon corps je dois l’aimer et m’en occuper et que si mes parents m’ont fait du mal, ce n’est pas une raison suffisante pour refuser de vivre, et de vivre maintenant!

Vous vous demandez sûrement pourquoi je vous livre mon histoire, une pathologie que je me suis efforcée de cacher, j’ai rusé toute ma vie, en donnant de fausses explications à chaque crise ( la balance indiquant, à certains moments de ma vie, 37kg il a bien fallu donner quelques informations  à mon entourage). Cette histoire très intime, je vous la livre car je suis une preuve vivante du soulagement que peut vous apporter une visite vers un naturophathe, sophrologue de surcroît.

La naturopathie, n’est pas seulement une médecine naturelle, et il est clair que nous ne pouvons pas nous passer de l’allopathie pour venir à bout de maladie grave comme le cancer par exemple, ce serait pure folie. La naturopathie est une médecine « préventive », elle nous enseigne comment notre corps fonctionne et comment avec des moyens naturels on peut venir à bout de certains dysfonctionnements ou certaines choses qui peuvent nous « gâcher » la vie, et abîmer notre capital santé.

Je pense à des problèmes de circulation veineuse, des problèmes digestifs, des allergies, les soucis liés à l’épiderme (eczema, psoriasis, herpès), les difficultés respiratoires….

Le naturopathe, avant de vous prescrire quoique ce soit, doit faire avec vous une visite complète de votre « mode de vie » dans ses moindres détails, il ne va négliger aucun aspect, hygiène de vie, alimentation, antécédents familiaux, apparition des symptômes en fonction du calendrier annuel, votre alimentation, votre digestion, votre façon de vous endormir, de vous réveiller, votre façon de gérer votre stress, vos migraines si vous en souffrez. Vous allez subir une forme de scanner « mental » et le praticien va vous aider à faire cette introspection sur vous-même. Il va vous astreindre, le temps d’une consultation à « analyser » vos symptômes et votre mode de vie quotidien.

Ce n’est qu’après cet examen complet auquel vous allez vous prêter car sans vous, le naturopathe ne peut rien régler, vous devez lui accorder votre confiance, et ne rien lui cacher car comme chez un psychiatre, mentir ou négliger un détail peut fausser le diagnostic et l’ordonnance.

C’est pourquoi on ne choisit pas son praticien à la légère, d’autant que l’obtention d’un diplôme n’est pas obligatoire pour exercer ce métier, comme d’ailleurs beaucoup d’autres (psychologue, sophrologue, cuisinier….) alors que ce métier a un lien direct avec votre santé.

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes se tournent vers la médecine naturelle et la nourriture végétarienne, ou la nourriture biologique. Le « bien-être » devient à la mode, on veut faire de la méditation, du yoga, de la sophrologie, se soigner par les plantes, mais il faut rester prudent pour choisir son praticien, il vaut mieux faire confiance « au bouche à oreille » qu’à Google. Et surtout il ne faut pas suivre une mode mais être persuadé que votre bien-être dépend de votre hygiène de vie.

La naturopathie et la sophrologie ou la pratique de la méditation et du yoga sont des pratiques personnelles. Il s’agit d’une démarche personnelle et cela demande énormément de patience et de volonté pour ne pas retomber dans des schémas anciens.

Les spécialistes de la médecine allopathique conventionnelle ont tendance à considérer le patient comme un “foie”, un « intestin « ou un “sein”, alors qu’une approche holistique de la santé considère chaque personne dans sa globalité.

En effet, le mot « holistique » est dérivé du grec « holes » qui signifie « tout entier« . Le principe fondamental de l’approche holistique consiste à comprendre l’état de santé ou de déficience d’une personne en fonction de ses facteurs physiques, psychologiques, sociaux, écologiques et spirituels. Chacun de nous fait un voyage unique qui ne saurait se répéter sous le même aspect, ainsi notre état de santé nous indique à quelle étape du voyage nous nous trouvons en ce moment précis.

Les moyens mis en oeuvre doivent réconcilier l’homme avec lui-même, lui faire prendre conscience de ses erreurs, et l’aider à nettoyer ses blocages physiques, énergétiques, émotionnels et mentaux afin qu’il devienne la personne qu’il aurait du être si les aléas de la vie, l’éducation, les traumas,… ne l’avaient pas entrainés vers un autre chemin.

Le naturopathe va vous initier à ce qu’on appelle « le vitalisme ». Le vitalisme est notre capacité à développer notre potentiel de lutte contre la maladie. Car en chacun de nous il y a ce potentiel. Il faut changer radicalement sa façon d’aborder les problèmes de santé c’est à dire ne plus se précipiter sur les médicaments mais adopter plutôt un mode de vie, une hygiène alimentaire, des habitudes (comme prendre l’air régulièrement été comme hiver, aérer la maison, boire régulièrement des tisanes, manger du miel…) pour prévenir l’apparition de la maladie (comme un rhume par exemple). C’est tout cela que va vous apprendre votre naturopathe. Et il va essayer de comprendre avec vous d’où vient le symptôme ( exemple on ne développe pas un eczéma de façon anodine, il y a toujours à un effet, une cause….) et c’est en cheminant qu’on réussit à mieux combattre les désagréments de santé (je parle de pathologies simples (rhume, eczéma, psoriasis irritation de l’épiderme, émotivité, stress….). On ne se précipite pas d’emblée sur le tube de cortisone!!!

Le naturopathe est, en général, et c’est le cas de Magalie Griggio , un praticien tourné vers les autres avec une volonté de vouloir amener le patient à une prise de conscience et un mieux être. Voilà pourquoi je vous parle de Magalie vers laquelle, je me suis tournée, une personne remplie d’empathie, douce, à l’écoute des souffrances, à l’écoute tout simplement, rien que cette oreille qui vous écoute cela sera déjà pour vous un début de guérison.

Parallèlement à la naturopathie, Magalie s’est également formée à la sophrologie, une discipline que je conseille à tous, comme la méditation. La sophrologie est une médecine à part entière, elle vous apprend à sentir votre corps, et à maîtriser vos émotions à partir de votre respiration.

La sophrologie est une science* qui étudie la conscience humaine, un ensemble de techniques et de méthodes pour vous amener vers une conscience corporelle.

Elle vise, selon moi, la conquête ou le renfort de l’équilibre entre nos émotions, nos cognitions (pensées, connaissances, croyances) et nos comportements.

Au croisement de la relaxation occidentale et de la méditation orientale adaptées, elle permet à chacun de trouver de nouvelles ressources en lui-même et d’améliorer sa qualité de vie.

Après de longs mois d’études, tout en assurant parallèlement, son rôle de maman, rôle d’ailleurs dans lequel elle se sent le mieux, Magalie vient de décrocher sa certification et se lance dans sa propre activité.

Je voulais à la fois lui rendre hommage, car il est très difficile pour une femme de mener à la fois des études et son métier d’épouse et de mère au foyer,  mais je voulais aussi témoigner des soins qu’elle m’a apportés depuis un an bientôt.

La naturopathie, saviez-vous vraiment ce que c’est? C’est à la mode ? Mais allez au delà de la mode et vous retrouverez votre vitalisme indispensable.

Aujourd’hui, je suis toujours prise en charge par un psychiatre bien évidemment la chimie est toujours présente sur mon plateau au moment de manger mais mon état d’esprit à changer grâce à des rencontres et notamment deux. La pratique de la méditation et de l’hatha-yoga par mon professeur Jessica Roméo, et par la rencontre « magique » avec Magalie Griggio, aujourd’hui naturopathe.

Elle m’a prescrit une ordonnance qui me permet de palier sur certains domaines à la chimie notamment au niveau du système digestif car l’anorexie cause nombre de dommages aux organes. Elle a su trouver un remède naturel àmon eczéma des paupières… mais surtout elle m’a appris que je dois, à mon âge ne compter que sur moi-même pour rester en vie et accomplir mes projets. Elle m’a convaincue que sans mon corps, je ne pourrais jamais atteindre tous les buts que je me suis fixée comme voyager, aller vivre ailleurs, recevoir des amis, promener en forêt avec mon chien que j’adore, nager en mer, faire de nouvelles rencontres, écrire mon roman, et continuer à tenir ce blog!

Alors si vous êtes en quête d’une nouvelle manière de prendre soin de vous, de vous soigner, sachez que Magalie sera toujours se rendre disponible pour vous recevoir, que vous pouvez avoir une confiance sans limite et je sais que sa douceur et sa capacité d’écoute vous aideront dès la première séance à avoir envie de prendre soin de votre vie!

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !

Entre les deux mon coeur balance

A l’occasion d’un évènement organisé un dimanche matin vers 8h30 par Le Varois.com, le restaurant Crêpes du Monde, situé à l’Avenue 83 et l’association EnEquilibre.asso j’ai non seulement dégusté un brunch vraiment comme je les rêve, comme je les aime, un brunch vegan et heathy mais j’ai surtout découvert une autre pratique du yoga.

Depuis le mois de juin, j’ai découvert, dans ma quête de reconstruction intérieure et extérieure, la pratique de la méditation et de l’hatha yoga avec mon professeur et maintenant amie Jessica Roméo, j’ai d’ailleurs écrit un article à ce propos, ici, ce fameux dimanche, j’ai découvert grâce à cet évènement , une nouvelle pratique l’Ashtanga yoga.

Une pratique toute différente, plus tonique, plus difficile, mais je ne suis pas femme à laisser tomber ce que j’entreprends, moins portée sur la méditation mais tout aussi intéressante. Cette pratique d’ailleurs m’a fait comprendre comment aller être longue la route vers la réparation de mon corps bien fatigué et à bout de force. Il est loin le temps où je randonnais d’un bon pas vers le sommet du glacier blanc!

Un petit mot sur l’origine de l’Ashatanga Yoga: (source Wikipédia)

Lorsque le terme aṣṭāṅga est associé au mot yoga pour former le vocable aṣṭāṅgayoga, celui-ci désigne le yoga en huit membres (aṅga) mentionnés dans les Yoga Sūtra de Patañjali. Ceux-ci se composent des cinq restrictions ou réfrènements (yama), des cinq vertus (niyama), des postures (āsana), de la discipline du souffle (prāṇāyāma), de l’abstraction des sens (pratyāhāra), de la concentration (dhāraṇā), de la méditation (dhyāna) et de la contemplation méditative (samādhi).
Aṣṭāṅgayoga est également utilisé pour désigner l’Ashtanga Vinyasa Yoga tel qu’enseigné par Pattabhi Jois. Il est orthographié à l’occidentale ashtanga yoga.

Depuis ce fameux dimanche, un déclic s’est produit en moi et comme souvent quand j’ai un déclic je ne tourne pas les talons. J’avais envie d’aller plus avant dans la découverte de cette nouvelle pratique du yoga sans pour autant abandonner l’hatha-yoga qui reste et demeure pour moi un vrai besoin et qui m’apporte bien plus qu’un bien être physique.

Jessica Roméo m’a appris à avoir de la compassion pour moi-même, elle m’a appris que d’avoir une âme c’est bien mais sans le corps l’âme s’envole et on ne peut plus aider autrui comme j’aime le faire. J’ai appris une nouvelle philosophie de vie, l’art de me retrouver avec moi-même, un travail sur l’ego, un travail sur la bienveillance que je dois atteindre envers moi-même.

La bienveillance pour les autres, je n’en ai jamais manqué, j’en ait fait même mon métier en devenant éducatrice pour essayer de sortir des jeunes mineurs d’un chemin de vie perturbé et chaotique.

Aujourd’hui j’ai envie de retrouver ma force physique et le yoga demande tellement de persévérance, d’efforts mais toujours dans la bienveillance envers soi-même que je dois poursuivre ce chemin vers une autre liberté celle de redonner envie à mon corps et mon coeur de gravir des sommets comme lorsque je faisais de la randonnée en montagne mais sans jamais oublier qu’il faut faire un pas après l’autre.

Le yoga est un sport qui se mérite, et cela dans la non-violence et le respect de ses limites. Sylvie Castelle, mon professeur d’Ashantaga nous le rappelle à chaque séance, soyez dans le bien-être et non dans la performance.

Ce qui me plaît dans la pratique du yoga c’est qu’il n’y a pas cette notion de compétition, notre tapis est magique et sa magie est différente de celle du tapis voisin tout aussi magique, chacun est capable de ce qu’il ressent et non de ce qu’il doit faire. Jamais je n’avais ressenti une telle liberté avant ma rencontre spirituelle avec le yoga. Avant le yoga je faisais tout à 10.000 à l’heure sans écouter mes limites, et même le sport, j’en ai fait toute ma vie, devenait une « obligation » et j’avais besoin de sentir mon corps souffrir pour réussir et pour avoir l’impression d’avoir bien travailler. Aucune commune mesure avec la pratique du yoga, où on doit respecter son corps et lui faire du bien!

La philosophie de l’hatha-yoga et de l’ashtanga m’a appris qu’il faut prendre le temps de vivre sa vie, ici et maintenant, et que seul le chemin importe et pas le but! Depuis ma rencontre avec Jessica et ensuite Sylvie j’essaie de convaincre les femmes et même les hommes autour de moi de pratiquer le yoga pour apprendre à se mettre, l’espace d’une heure, dans une bulle de lumière et de bien être, pour mieux aimer sa vie et affronter les douleurs que nous endurons tous.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter

Rendez-vous sur Hellocoton !