Chasseur d’images

J’ai fait, très récemment, grâce à Sophie Pelikan, créatrice de Créa-cord, mon billet ici, une magnifique rencontre. Une rencontre avec un artiste mais pas que, une rencontre avec un peu mon double.

Comme moi Pascal Langianni est un passionné d’images, de captures d’émotions, de captures de moments éphémères. L’émotion peut être transmise soit par des mots, soit par des images, soit même par des sons, l’émotion est d’ailleurs ce qui fait le socle d’un bon film.

Mon émotion, je la traduis la plupart du temps par des mots écrits car je n’ai malheureusement pas le talent de Pascal Langianni, un photographe absolument exceptionnel et au passage, je remercie Sophie d’avoir pu me faire rencontrer une personne de qualité, une personne rare, je n’ai pas peur des mots. Vous connaissez mon honnêteté sur ce blog, je ne parle qu’avec mon coeur et souvent mes tripes et si aujourd’hui je viens vers vous pour vous raconter cette rencontre c’est que je sais qu‘un artiste n’a pas le droit de vivre dans l’ombre et je souhaiterais mettre le projecteur sur ce chasseur d’images que je viens de croiser.

Un poète, lui, est amoureux des ciels d’orages, des lumières sur la ville, des paysages, des moments d’amour, des instants qu’on voudrait éternels, moi  je suis une amoureuse des mots car malheureusement je ne maîtrise pas la photographie.

Pascal Langiani fait plus que « prendre une photo », il sait quand il faut déclencher et pourquoi c’est maintenant qu’il faut appuyer sur le déclencheur, et cela n’a absolument rien à voir avec une technique ou un simple savoir faire.

Pascal sait « regarder » il sait « voir » il sait capturer l’émotion pure de certains moments que nous offre la vie. Capturer l’émotion, faire vibrer la personne qui va regarder le cliché est la chose la plus difficile et en même temps la plus magique que doit savoir faire un photographe.

Pensez aux clichés de Henri Cartier-Bresson ou le photographe, que n’importe quel profane connaît, Monsieur Robert Doisneau, regardez les nus de Jeanloup Sieff et vous y verrez tout autre chose que des corps nus de femmes, vous y verrez de l’amour. Tous ces grands photographes nous émerveillent car ils appuient sur le déclencheur au moment opportun, au moment choisi, au moment parfait.

Comme les grands reporters de guerre, comme Robert Capa, qui arrivent à vous faire pleurer juste avec une image qui, pourtant, est fixe! Vous arrivez à percevoir au-delà de l’image, vous entendez les bruits de balles, les corps qui tombent dans la poussière, les cris, vous êtes dans la guerre vous aussi…

Pascal Langianni vous montre un ciel d’orage, et vous voilà tout dégoulinant de  pluie, vous sentez l’eau tomber sur vos épaules, vous sentez l’herbe mouillée sous vos pieds, vous entendez les roulements de tonnerre, vous êtes dans l’orage…

Pascal sait également, comme peu savent le faire d’une manière naturelle et authentique, capturer les moments d’amour, alors faites lui confiance et chargez le de capturer vos moments de pure bonheur. Confiez lui votre visage et il saura parler de vous comme personne, il saura dévoiler quelle femme ou quel homme vous êtes, et ce qui vous fait vibrer.

Pascal, saura-t-il, avec ses clichés vous parler de moi et vous faire sentir la personne que je suis à l’intérieur, celle cachée, celle pudique, bientôt vous le saurez et cela fera l’objet d’un autre billet sur ce brillant photographe.

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Femme

Quand on commence à vieillir, il y a des tas de choses qu’on pense ne plus pouvoir s’autoriser…

Si je tiens ce blog depuis presque deux ans c’est en partie pour encourager les femmes, toutes les femmes, à aborder la soixantaine sans avoir peur. Les maigres, les rondes, les brunes, les blondes, les grandes et les petites, les belles et les moins belles, les encourager toutes à garder en elles l’envie de séduire et de se faire plaisir.

La vieillesse est quelque chose d’irrémédiable, nous ne pouvons pas arrêter les horloges, alors profitons de la vie au maximum et accordons nous des petits plaisirs très féminins, s’offrir un rouge à lèvres, se faire une manucure, porter de temps à autre une jolie robe juste pour aller au cinéma et aussi, parce que c’est important de ne pas oublier combien la lingerie contribue également à nous sentir féminine peu importe si nous sommes en couple ou pas.

S’offrir de la lingerie pour se faire plaisir à soi, rien qu’à soi. Avoir passé 50, 55, ou 60 ans ne veut pas dire renoncer à sa féminité et à tous les accessoires qui l’entourent, et porter des culottes de grand-mères!!! Au contraire, les femmes qu’on dit « mûres » sont aussi belles que les autres car elles ont une histoire, une expérience, elles ne trichent plus, elles se connaissent trop pour se mentir ou duper.

Tout ce grand intermède pour vous dévoiler que j’aime la lingerie, j’ai toujours aimé cela. J’en ai toujours achetée (beaucoup en supermarchés car je n’ai jamais été très dépensière) beaucoup d’hommes m’ont offert de très belles parures de grandes marques (certaines sont encore dans le tiroir de ma commode) et aujourd’hui la lingerie me fait encore craquer.

Le choix avec l’âge n’est plus le même, on ose peut-être moins se dévoiler mais on peut être sage tout en étant un brin sensuelle. Je voulais vous présenter un article de lingerie que j’ai choisie chez Babou, la plupart du temps ma lingerie vient de cette enseigne qui sait tant me chouchouter à petit prix.

Cette fois j’ai décidé d’oser vous montrer mon acquisition « portée » car cela est tellement plus parlant que sur un cintre. Alors j’espère ne choquer personne en vous dévoilant les dessous de Babou.

Babou nous permet de trouver et de porter une lingerie moderne, délicate, bien coupée et il y a dans les rayons de cette enseigne de la lingerie pour tous les styles de femmes.

Alors, si la mienne vous plaît, n’hésitez pas à aller faire un tour chez Babou pour trouver la vôtre et vous sentir belles. Et croyez moi la vie n’est pas finie à 60 ans et même parfois elle devient plus palpitante et pleine de surprises car on a davantage conscience des moments précieux.

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Une pincée de tendresse et de délicatesse et vous ouvrez La Parenthèse

J’ai eu l’immense plaisir de faire la connaissance de Clémence, par le biais d’Instagram et le coup de coeur a été si fort que je ne pouvais pas manquer de vous la faire découvrir.

Clémence est une jeune femme d’une gentillesse, d’une douceur et d’une délicatesse qui m’ont charmée. Les deux heures que nous avons passées ensemble ont défilées à la vitesse d’un bon dessert,  comme une gourmandise, comment vous dire,  comme quand vous arrivez à la dernière bouchée de votre délicieuse glace à la vanille! Vous vous dites déjà c’est fini! Un goût de trop peu….c’est cela une jolie rencontre, un coup de coeur…..

Clémence, depuis l’enfance aime dessiner, elle illustrait son cahier de poésies déjà à l’école. Lorsque je me suis retrouvée face à elle, j’ai ressenti, c’est souvent ce qui se produit avec les personnes que je rencontre par l’intermédiaire de mon blog, que les créatrices font ce qu’elles sont. Clémence par sa posture quand elle regarde sa petite fille qui fait la sieste dans sa poussette, quand elle baisse les yeux, ou sourit d’émotion est, à elle toute seule, une forme de poésie, et effectivement le temps de cet interview, nous avons créer « une parenthèse de douceur et de poésie », nous n’entendions plus les bruits ambiants et pourtant je peux vous assurez, qu’en été, les bruits ambiants sur les terrasses des cafés sont assez sonores.

Au premier coup d’oeil, quand Clémence a posé timidement ses dessins sur la table, j’ai ressenti une très vive émotion et comme une vague de douceur. Les illustrations de Clémence sont douces, bucoliques, pastels souvent, et quand les teintes sont plus vives le dessin semble s’animer. C’est magique. J’ai beaucoup d’admiration pour les personnes qui dessinent, car pour moi dessiner nous révèle encore davantage que des mots écrits sur un carnet.

Le dessin est une activité plus délicate que l’écriture et qui demande énormément d’imagination, qui demande un sens du visuel, une capacité à observer la nature, les personnes, à ressentir les ambiances…. J’ai ,moi-même, quand j’étais plus jeune, réalisé beaucoup d’illustrations à partir de collage papier mais c’est une technique infiniment plus facile car on part d’une base, d’un papier illustré ou coloré alors que le dessin la feuille est vierge comme celle d’un carnet de voyages.

Clémence ne pensait jamais utiliser son talent pour devenir illustratrice, elle se destinait plutôt à une carrière dans l’architecture. Et la magie opère au moment de son congés maternité, cette « parenthèse » renforce son envie de dessiner et elle commence à penser à la décoration de chambres d’enfants. Elle s’inspire des Fables de Monsieur Jean de La Fontaine et les illustre à sa façon. Le résultat est stupéfiant, rien à voir avec les illustrations de Gustave Doré. On sent au travers de ses dessins son attachement à la nature, aux animaux, elle parvient à donner du relief au dessin et à même nous faire sentir la douceur du pelage du renard roux.

Soutenu et poussé par son mari qui croit en son talent, et j’avoue que je suis en tout point d’accord avec lui, elle lance sa petite entreprise de vente en ligne « La Parenthèse » des créations pour fixer le temps, n’est-ce pas joliment dit.

 

Sur son site vous trouverez tout ce dont vous rêvez, et vos souhaits seront exaucés dans tous les domaines, illustration de livres, illustration de mots d’enfants (une façon si tendre de ne pas les oublier), faire-part de mariage, de naissance, marque-pages (en préparation) et je l’espère illustration de carnet de voyages (c’est en tout cas la commande que j’ai passée à Clémence pour illustrer mes écrits lors de mon séjour en Inde).

Je voulais avant de fermer cette « Parenthèse » si douce, vous informer que Liveloveandcook et La Parenthèse ont décidé d’organiser un évènement le jeudi 3 Août à 18h dans mon jardin autour d’un petit buffet pour que vous puissiez profiter d’une exposition non virtuelle des illustrations de Clémence. Un moment de partage qui vous permettra de découvrir cette talentueuse créatrice mais également la douceur qui la caractérise.

Vous pourrez vous rendre-compte de la qualité de son trait, du choix des papiers qu’elle utilise et vous pourrez aussi lui faire part de vos souhaits pour un futur proche ou moins proche. Bien évidemment cet évènement sera gratuit et doit être pris comme un instant de rencontres et de plaisir, une halte au jardin c’est comme réciter une poésie.

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