Vous connaissez mon addiction aux vestes, j’en ai déjà un certain nombre mais une fois encore j’ai succombé…j’ai toujours une bonne raison pour trouver la nouvelle acquisition différente de celles qui sont alignées dans mon dressing. Je suis incorrigible!!!
Celle-ci je l’ai trouvée chez Grain de Malice, tendance un peu kimono, dans les teintes bleu marine et noir, un petit fil d’argent l’agrémente et je la trouve élégante, sobre et vraiment très facile à porter soit « à la loose » soit avec une jupe droite façon un peu tailleur. Elle est de très belle matière et la qualité de Grain de Malice ne se démontre plus! Une marque au top!
Je la porte ici très simplement sur un jean style boyfriend qui vient également de chez Grain de Malice et comme j’adore les blouses « bohème » j’en ai choisi une chez Blancheporte l’été dernier que je porte très souvent, la broderie qui orne les manches façon « macramé » me plaît vraiment beaucoup et cette petite blouse se porte autant l’hiver que l’été.
Vous savez combien j’aime la féminité et l’élégance mais étant assez mince j’avoue aussi aimer porter le style « masculin/féminin » c’est pourquoi avec cette tenue j’ai opté pour mes derbies offert par mon ancien amoureux de la marque Bocage, une marque de chaussures que j’aime et qui ne m’a jamais blessé les pieds.
Le sac bowling, inconditionnel du dressing, léger et au final petit et grand à la fois vient encore de chez Grain de Malice (collection de l’an dernier) et il s’associe avec de multiples tenues. Je ne suis pas prête de l’abandonner!
Les bijoux sont de la petite pacotille trouvés ici et là, la pacotille c’est très bien quand on a un tout petit budget et cela suffit amplement! Sauf bien entendu ma bague que je ne quitte plus mon talisman, mon scarabée de Nude Créations, une jeune créatrice Hyéroise que j’affectionne beaucoup.
Voilà pour conclure cet article je voudrais vous inciter à ne pas bouder les vestes en laine qui sont un bel atout dans votre garde robe et qui peuvent se porter de mille et une manières!
Je suis certaine que la maille est faite aussi pour vous.
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Je pense que vous avez toutes et tous fait l’école buissonnière qui consiste à tailler la route plutôt que de se rendre sagement à l’école, qui n’a pas séché l’école?
Suis-je la seule?
Il faut dire que j’étais sacrément surveillée et puis, là où j’ai grandi, c’est encore à l’école que j’étais le mieux, le lieu où je me sentais le plus libre!
Aujourd’hui je voudrais plutôt vous inciter à aller voir le dernier film de Nicolas Vanier du même nom que le titre de mon billet.
Si comme moi, vous aimez la nature, les grands espaces là ou la flore et la faune sont encore préservées, ce film vous plaira, si vous aimez également les films ayant une trame sociale, une intrigue familiale, ce film est pour vous.
Le début de l’histoire:
Paris 1930. Paul n’a toujours eu qu’un seul et même horizon : les hauts murs de l’orphelinat, sévère bâtisse de la banlieue ouvrière parisienne. Cet enfant est confié à Célestine et Borel, son mari, le garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne, l’enfant des villes, récalcitrant et buté, arrive dans un monde mystérieux et inquiétant, celui d’une région souveraine et sauvage.
L’immense forêt, les étangs embrumés, les landes et les champs, tout ici appartient au Comte de la Fresnaye, un veuf taciturne qui vit solitaire dans son manoir. Le Comte, interprété par François Berléand, magnifique dans le rôle, il a « le physique de l’emploi », cavalier sillonnant son domaine à cheval et amoureux de la chasse à cour, il tolère les braconniers sur le domaine mais Borel les traque sans relâche et s’acharne sur le plus rusé et insaisissable d’entre eux, Totoche.
Au cœur de la féérique Sologne, aux côtés du braconnier, grand amoureux de la nature, Paul va faire l’apprentissage de la vie mais aussi celui de la forêt et de ses secrets. Un secret encore plus lourd pèse sur le domaine, car Paul n’est pas venu là par hasard…
Pourquoi j’ai aimé ce film? Tout simplement parce qu’il a su m’émouvoir, et n’est-ce pas le rôle d’un cinéaste?
J’ai fait carrière dans le social et je sais combien il est difficile d’être privé d’affection maternelle et paternelle quand on est enfant. Je sais combien il est douloureux de grandir dans une institution de l’état puisque j’y ai travaillé. D’autre part je suis toujours touchée (c’est mon côté « fleur bleue ») par les histoires de famille, les secrets de famille.
Ce film m’a d’autre part vraiment séduite par son interprétation, François Cluzet dans le rôle de Totoche est tout simplement extraordinaire, autant qu’il l’était dans « Intouchables« , ou « Les petits mouchoirs« . Cet acteur est particulièrement brillant dans des rôles « atypiques » soit l’handicapé, soit le copain « parano ».
Ici il joue le rôle d’un braconnier « brute de décoffrage » et très attachant. Son compère Borel, le garde-chasse joué par Eric Elmosnino n’est pas en reste, l’acteur que l’on voit souvent jouer des seconds rôles, interprète à la perfection le rôle du garde-chasse borné, étroit d’esprit un peu « pèquenot », rustre. J’adore cet acteur, souvenez-vous de lui dans le rôle de professeur de musique dans « La famille Bélier« .
Le personnage de Paul est très bien interprété par un jeune garçon Jean Scandel aux yeux bleus immenses, Paul est intelligent, fin, curieux, ouvert à tout, attachant et authentique.
D’autre part, ce film vous offre l’opportunité d’être transporté en Sologne, les paysages sont absolument magnifiques, j’ai eu l’impression d’y être, d’entendre le vol des canards, d’écouter le brame du cerf, de ramasser des cèpes, d’apprendre à pêcher à la mouche….
C’est un film français sans prétention, mais un film sincère, touchant, peut-être un peu à « l’eau de rose » mais je sais qu’en ce qui me concerne, dimanche dernier ce film m’a fait du bien. Je suis sortie de la séance reposée, détendue, convaincue que le bonheur est une multitude de petites choses toutes simples, que le bonheur est surtout lié à la façon dont nous avons décidé de mener notre vie, soit loin des fastes et de l’agitation de la ville, soit en accumulant des biens et devenir prisonnier de l’argent.
Le bonheur, c’est surtout accepter ce que l’on a, savoir vivre avec ce que l’on a, vivre en sachant profiter de chaque instant magique que nous offre la nature. Le bonheur c’est aussi ouvrir son coeur, savoir pardonner, être bienveillant.
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Dans ce petit billet, je voulais vous faire découvrir une petite robe en coton jersey rose que j’ai choisie sur un coup de tête. Je n’étais pas certaine du tout de la porter, car porter du rose à mon âge peut faire trop jeunette ou vulgaire, au final ma petite robe rose de chez Babou je ne la quitte plus.
Elle est confortable, ne se déforme pas au lavage et de par sa simplicité on peut user et abuser des accessoires c’est mon propos d’aujourd’hui. Je vous montre une petite robe toute simple façon tee-shirt accessoirisée différemment. Allez c’est parti je vous montre….
Cette petite robe (7€) rose j’ai choisi de l’accessoiriser avec un joli chèche assez basique puisque noir et blanc mais pétillant grâce à l’alignement de pompons colorés qui le bordent, un chèche à petit prix (7€) à porter autant l’été que l’hiver, d’ailleurs pour aller m’asseoir en terrasse en soirée je l’ai utilisé en guise d’étole. Je le trouve parfait pour agrémenter cette petite robe toute simple.
Au niveau des sandales, (j’aurais pu aussi choisir des espadrilles) cette paire vient de chez Babou également, perlée, et lacée sur la cheville, elles font leur effet, peut-être qu’elles ne sont pas d’une solidité à tout épreuve mais même si elles ne durent qu’un été, je les ai emportées (12€).
Ce jour-là comme j’étais partie au Mourillon Market j’avais emporté mon panier Babou (7€) rose, et la jolie pochette confectionnée par mon amie créatrice Chola by Carla Greta, cette pochette mi cuir, mi lin est ornée de broderie péruvienne et je l’adore autant que mon amie Carla!
Au niveau accessoires, je suis restée soft, vous connaissez mon addiction aux boucles d’oreilles, la paire en forme d’escargot type créoles ont été dénichées durant le Wow Market du Mourillon, elles sont du plus bel effet et peuvent se porter très facilement, elles sont très délicates. La deuxième paire plus colorée vient de l’enseigne Promod shoppée l’an dernier au moment des soldes, ces boucles d’oreilles sont colorées et originales et sont parfaites pour donner du caractère à une tenue unie.
Cette petite robe rose se sent également très à l’aise en compagnie du vert, ce joli sac bourse je l’ai trouvé chez Nature et Découvertes,pendant les soldes je n’ai pas su résister, je sais c’est mal!!!! Mais j’ai eu un vrai coup de coeur, d’une part parce que j’adore le vert et avec ce sac à l’épaule je me sens partir en voyage….
Alors que pensez-vous des deux manières d’accessoiriser une petite robe tout ce qu’il y a de plus simple? Vous ai-je convaincu que le rose n’est pas une couleur « cul-cul la praline » et qu’elle n’est pas réservée uniquement aux petites filles. Ce genre de petite robe toute simple vous plaît-elle, si oui n’hésitez pas à foncer chez Babou il y en a presque de toutes les couleurs et n’oubliez pas de jouer avec les accessoires pour lui donner du peps!
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Cet été en matière de coup de coeur vestimentaire j’ai fait vraiment fort! Au premier coup d’oeil cette petite combinaison a déclenché en moi un petit déclic qui m’a conduite directement à la cabine d’essayage? Je me suis dit, en regardant ma trouvaille, « sous toutes les coutures » et pourquoi pas? Après tout l’été ce n’est qu’une fois par an? Alors on peut se permettre un peu de fantaisie et de décontraction. Et puis si cela se trouve, on ne me remarquera même pas au milieu de tous ces touristes qui envahissent notre belle région du Var…
Sans plus attendre, je vous montre l’objet de convoitise et vous me direz ce que vous en pensez, et j’attends toujours de vous un avis sincère! Il est évident que mon bonheur je l’ai encore trouvé chez Babou. Entre cette enseigne et moi c’est une véritable histoire d’amour, mes trouvailles chez Babou me ressemblent, elles sont tendances, dans l’air du temps, colorées, joyeuses et je les porte avec un sentiment de liberté car ma vie d’aujourd’hui n’est plus une vie « tirée à quatre épingles » mais une vie plus légère, plus naturelle, moins figée dans les « quand dira-t-on? » Plus de réunions de cadres, plus de séminaires, plus de faux semblants….
L’important en matière de mode, si toutefois je me considère comme une modeuse, c’est que je me sente moi, vraie, ici et maintenant et que la façon dont je m’habille soit en adéquation avec ce que je suis!
Cette combinaison bleu marine et blanc, aux motifs aztèques, est toute légère à porter par ses temps de canicules et convient à toutes les morphologies, elle cache à la fois les rondeurs et mets quelques rondeurs là où il n’y en a point. Et elle a des petits noeuds sur le côté qui permettent de la remonter si on le souhaite. Et comme vous le voyiez, vous pouvez la porter façon « Bardot » en laissant entrevoir vos épaules.
Elle se suffit à elle-même, inutile de sortir un attirail d’accessoires et de bijoux. J’ai choisi de la porter tout simplement avec une paire de sandales argentées de la marque LesTropéziennes (cadeau de mon chéri il y a déjà quelques temps, je les trouve très fines et élégantes, et d’une année sur l’autre elles tiennent le coup et surtout je ne me lasse pas de ce joli modèle), un panier jaune, vous l’avez deviné, il vient de chez Babou au mini-prix de 7€, la combinaison en vaut 15 (une tenue estivale à un coût mini mini!)
La chaîne de chevilles, un petit accessoire que je rêvais d’avoir, c’est ma fille qui m’a offerte celle-ci et je la porte quasiment tous les jours, elle vient de chez Bijoux Brigitte. Mon petit bracelet, idem, je ne le quitte plus, un bijou artisanal comme je les affectionne celui-ci vient d’Amérique Latine, pays que je souhaiterais tellement visité. D’ailleurs cette petite boutique, qui jouxte la Fabbrica di Marco, mon billet ici, est tenue par une dame qui parcourt le monde et nous ramène des merveilles, je vous invite vivement à y faire un tour, cette boutique se nomme « l’arbre de vie », il y en a pour tous les goûts, pour femmes mais aussi pour hommes.
J’ai agrémenté ma combinaison d’une petite ceinture, celle-ci a une grande qualité c’est qu’elle s’adapte à toutes les tailles, inutile pour moi de faire encore des trous supplémentaires, trouvée également chez Babou au prix de 5€
Alors que pensez-vous de ce petit look estival? je vous l’accorde j’aurais pu faire l’effort de me maquiller mais je me préfère au naturelle et entre mes followers et moi, pas de tricherie, pas de mensonges, pas de retouches, je suis ainsi et au moins quand on me croise dans la rue, liveloveandcook on la reconnaît, d’ailleurs cela fait infiniment plaisir quand l’une d’entre vous m’appelle en me disant vous n’êtes pas la blogueuse….
Voilà, il est temps pour moi de m’éclipser jusqu’au prochain post, j’espère que cette tenue estivale a remporté les suffrages et que vous aussi vous ferez des trouvailles chez Babou.
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